Journal de l'esclave et amoureux de sa Maîtresse.

Lundi matin, au réveil de ma première nuit dans la cage avec "point d'intrigue", j'ai eu des pensées érotiques de soumission à Marie. L'érection, dans la cage, a été immédiate, mais n'a pas fait long feu. Les "points d'intrigue" se sont rappelés à moi par une douleur très intense sur la verge. J'ai filé sous une douche froide, en gémissant de douleur. J'avais compris la leçon : avec les "points d'intrigues", si j'ai des idées qui font bander, ça fait mal, très mal, immédiatement. Une douleur irrésistible. Donc, non seulement je ne peux plus toucher mon sexe (normalement, je me branle plusieurs fois par jour), mais en plus, les pensées érotiques trop fortes ne me sont plus permises. L'emprise de la cage dépasse largement son zction sur la verge, pour devenir très efficace sur le cerveau, les pensées, les désirs... Un bon instrument de dressage qui ne pourraît qu'être profitable à la soumission de ma personne à Marie.

Durant les 4 jours que j'ai passé seul à l'hôtel, j'ai réussi à contrôler... Je réprimais mes pensées érotiques ou bien je ne laissais pas se développer des sensations trop physiques. L'emprise mentale de Marie par les "points d'intrigue" semblait fonctionner. Mon sexe devenait de plus en plus petit dans la cage et ne bandait presque plus. Je devenais sage... Je découvrais ainsi les desseins de ma Maîtresse : contrôler mes pensées érotiques et m'interdire de fantasmer quand elle ne le souhaitait pas... Mon désir permanent pour Elle, devenant un objet contrôlé par moi, selon ses ordres...
Au bout de 4 jours, mon sexe et mon esprit s'étaient si bien habitués aux '"points d'intrigues" que je n'en sentais absolument plus les piquants. J'en étais presque frustré.

Je suis rentré jeudi soir. J'étais très heureux de retrouver Marie. C'était très tendre... Nous nous sommes couchés et endormis. Mais dans la nuit et au réveil, j'ai senti à plusieurs reprises la morsure des piquants... La peau de Marie est si douce, si excitante, si désirable qu'à chacun de ses mouvements dans le lit, je bande. La peau de Marie m'a toujours fait une sensation exceptionnelle, mais quand je porte la cage c'est encore plus intense. Avec les "points d'intrigue", sous l'effet de la morsure des piquants je m'aperçois que j'ai une érection à chacun de ses mouvements. Je ne me m'en étais jamais aperçu auparavant... Pas à ce point, en tous cas !

La nuit de vendredi à samedi a été encore plus intense. J'ai eu souvent mal au sexe. Marie, comme à son habitude n'exprimait aucun plaisir à ma souffrance, mais de l'indifférence (...parfois amusée). Son attitude m'excitait terriblement. Ça me faisait bander encore plus. Un vrai cercle très vicieux : Si je laisse se développer une pensée érotique, je bande. Si je bande, je piquants mordent mon sexe. Cette situation m'excite. Et je bande encore plus. Je n'en ai que plus mal. Ce qui me fait bander. Et l'attitude de Marie renforce mon excitation... Etc. Bref, c'est un piège dont j'ai beaucoup de mal à sortir... J'ai beau faire le tour de la question, seul dans ma cage avec ses piquants, il n'y a qu'une seule solution : ne pas bander. Contrôler, totalement ! Voilà qui devrait faire de moi un esclave performant.

Samedi... Alors que je donnais du plaisir à Marie par ma bouche et mes caresses, elle s'est amusé à m'exciter de façon très forte, notamment par de longs baisers très sexuels... Je crois qu'elle a senti la morsure du "point d'intrigue" dans le goût de mes baisers et que ça lui a plu...
Sam 13 jan 2007 Aucun commentaire