Journal de l'esclave et amoureux de sa Maîtresse.

Ce soir, c'est une grande première. Marie a décidé que nous nous rendrons dans un club SM... On en parle depuis longtemps, mais on ne l'a jamais fait...

Vers 21h00, Marie me demande de me mettre nu. Elle inspecte mon corps, mon odeur, mon épilation... Elle remarque quelques poils sur mon sexe. Elle ouvre le cadenas de la cage de chasteté et m'ordonne d'aller parfaire mon rasage... L'ouverture de cette cage, que je porte depuis 5 semaines est un vrai soulagement. Je bande dur, le seul fait de toucher mon sexe me met au bord de l'éjaculation... Marie s'en aperçoit et m'impose une douche et un rasage à l'eau glacée...
J'ai dans l'idée que mon sexe sera libre et accessible dans ce club SM... Je m'en réjouis, même si je suppose qu'il ne me sera probablement pas autorisé de jouir, car je sais que Marie aime garder ces petits plaisirs pour Elle seule.

Une fois douché, rasé et séché, Marie de regarde en souriant. La douche était très glacée, j'ai froid, je tremble. Elle profite du moment, puis me demande de venir la masser sur le lit, ce qui devrait me réchauffer selon Elle. Mon sexe est libre, je bande très dur. Elle joue parfois à le caresser dès qu'il faiblit, pour me maintenir très excité.

Le massage terminé, elle se retourne vers moi :
"Va chercher la cage et tu prendras les piquants de la taille n°3, les plus longs !
- Mais on ne les a jamais essayés. On ne sait même pas si je les supporte...
- Ce sera une bonne façon de savoir... Parce que je pense que tu seras très soumis ce soir, donc très excité. Les piquants te feront le plus grand bien en te mordant très fort. C'est ça que tu aimes, n'est ce pas...
- Euh...
- Va les chercher. Moi je le veux !"

Je reviens avec la cage. J'ai dû mettre de la vaseline pour y faire entrer mon sexe, tant il était dur. J'installe les piquants de taille n°3. Ils sont très longs et très saillants. Ils me font mal d'emblée. Marie me demande d'approcher et de lui présenter mon sexe...
Elle serre la cage d'un geste sec puis la verrouille avec un cadenas en acier. La douleur des piquants est immédiate, intense... Je suis obligé de réprimer mon excitation. J'en mène pas large. Marie me sourit : "Ce soir, tu seras puni par les piquants à chaque fois que tu prendras du plaisir dans ta soumission. Tout plaisir te fera très mal au sexe... Comme ça, je suis certaine que tu ne cesseras pas de penser à Moi, quand tu seras entre d'autres mains...
— Entre d'autres mains ?
— Tu verras bien sur place. Je t'ai déjà dit que je n'avais pas envie de te dominer moi-même là bas. Je serais trop indulgente avec toi, si je le faisais moi-même... Ce n'est ni ce que tu mérites, ni ce qu'il te faut, ni ce dont tu as envie. On trouvera plus sévère et plus exigeant que moi. Habilles toi à présent."

Pris par la douleur de mon sexe qui demeure dur, je sors de l'armoire la tenue SM que nous avions achetée en prévision, il y a dejà quelques mois. Il y a un pantalon en cuir, une chemise noir et un string en cuir. Lorsque je mets le string, Marie éclate de rire... Et moi aussi, car je suis vraiment ridicule avec ce petit slip en cuir... Ce rire a le mérite de calmer mon érection.
Marie revêt de son côté une majestueuse tenue noire en satin. Je m'approche pour l'embrasser, mais Elle me repousse. Je comprends que son corps m'est désormais totalement inaccessible.

Nous arrivons vers 22h30 à ce club SM... Passé l'accueil, nous nous dirigeons vers le vestiaire. Une jeune femme nous invite à nous changer et déposer nos affaires, si on le souhaite. Marie se défait de sa veste, puis me demande de retirer tous mes vêtements ainsi que ma montre, à l'exception du string qui dissimule à peine la cage de chasteté.
Elle me regarde en souriant complice, avec la jeune fille du vestiaire... Je me sens gêné, ça m'excite et les piquants commencent leur travail. Marie rit et me pinçant les seins.

Puis Marie me demande de mettre les mains dans le dos et me passe des menottes. Elle attache ensuite un collier autour de mon cou, avec une laisse, puis accroche la clé des menottes au collier. "Voilà, comme ça, tu ne pourras pas libérer tes mains sans trouver une bonne âme qui aura pitié de toi ou besoin de tes mains..."
Elle prend un baillon boule et s'approche de moi :
"As tu quelque chose à dire ?
— Non.
— T'es sûr, parce que je vais te mettre ce baillon et que tu ne seras plus autorisé à parler de la soirée.
— Je t'aime."
Elle met le baillon boule dans ma bouche et le fixe solidement derrière ma nuque.
Puis marie revient avec un masque pour les yeux : "Regardes moi bien, car tu ne me verras plus de la soirée." Puis elle fixe le masque sur mes yeux.

Me voilà prêt, selon Marie : menoté, tenu en laisse, muet et sans la vue, en string.
Marie prend la laisse et me conduit lentement vers la cave d'où provient de la musique et quelques rumueurs, ainsi que de lointains gémissements de plaisir et de douleur.
Apparemment, notre entrée est remarquée, car il se fait un petit silence...
Marie me met debout contre un mur et je sens la laisse se tirer vers le haut. Elle l'attache à un crochet, car je ne peux plus me déplacer... Obligé de rester ainsi, debout, attaché par le col et les mains liées. Puis je sens que MArie écrit quelque chose d'assez long sur mon corps avec un feutre.
Une fois fini, Elle vient me parler à l'oreille en caressant mon sexe, ce qui me procure une intense douleur à cause des piquants :
" Voilà, tu es prêt. Et en plus tu bandes dans ta cage. J'adore... Tu dois avoir très mal... C'est bon ! Vraiment, j'adore... Maintenant, je vais te laisser et tu auras toute la soirée pour découvrir ce que j'ai écrit sur ton corps. Peût -être que des personnes viendront te libérer pour s'occuper de toi... Peut être qu'il ne se passera rien du tout. Tu verras bien... Si des personnes viennent te prendre, tu devras accepter tout ce qu'elles t'ordonneront et ça devrait te permettre de deviner ce que j'ai écrit. J'espère que tu prendras beaucoup de plaisir et que la morsure des piquants te comblera... Taille n°3, ça va faire très  mal à mon amoureux. Mais il aime ça, pas vrai ? Quand à moi, je ne m'occuperai pas de toi. J'ai bien l'intention de me faire plaisir, à ma façon, mais sans toi... Peut-être que tu entendras parfois ma voix, mes rires, mes gémissements, mes soupirs ou mes cris de plaisir... Peut être aussi que tu ne m'entendras pas du tout, car je serais partie ailleurs prendre mon pieds. Pour ce soir, je t'abandonne ici. Le patron de la boîte est chargé de te libérer dans 3 heures si personne ne l'a fait d'ici là... Et tu dois être rentré à 4h00 du matin au plus tard. Quand à moi, je rentrerai quand je rentrerai... Courage, mon amour, tu vas adorer... Oh mais oui que tu adores, je vois que tu bandes dans ta cage. Hm, c'est bon les piquants. Et sois sage..."

M'abandonnant à la douleur des morsures des piquants, Marie s'éloigne après avoir mordillé mes seins... Puis je l'entends parler avec des gens, sans comprendre ce qu'ils se disent...
Un peu plus tard, je sens des personnes s'approcher de moi. Certain(e)s me touchent, d'autres baissent mon string et jouent avec la cage. Parfois, je reçois une fessée rapide ou bien des doigts viennent pincer durement mes seins et s'amusent à me faire bander ainsi, une autre personne touche mes fesses et les écarte, introduit un doigt et le ressort... Je suis offert à tous vents, vulnérable et impuissant. Entre deux visite, je continue d'attendre debout, attaché, immobile, disponible... De temps en temps, j'entends les rires de Marie. Plus tard, j'entends aussi les gémissements de plaisir d'une femme, au loin, et je crois reconnaître que ce sont ceux de Marie, mais je n'en suis pas sûr et je n'en saurai rien, car je suis certain qu'Elle me frustrera de savoir ce qu'Elle a fait durant cette nuit... C'est dans son pouvoir.

Puis bien plus tard, je sens une cravache caresser mon torse, mon visage, mon sexe, mes jambes... Je reçois deux petits coups sur les fesses, puis la main qui tient la cravache détache la laisse et m'emmène avec elle. Je ne sais s'il s'agit d'un homme ou d'une femme, ni ses intentions, mais je la suis, tenu en laisse, les mains menottées, le visage masqué, la bouche baillonnée... On arrive dans une autre pièce. Je sens la présence de plusieurs personnes autour de moi. On détache mes menottes. Mes bras sont libres, mais pas pour longtemps. On me les attache, écartés, à des crochets en hauteur. Puis on m'écarte les jambes avant de les attacher à quelque chose dans cette position. Je crois bien que je ne vais pas tarder à comprendre le sens de ce que Marie a écrit sur mon corps.

Jeu 15 mar 2007 Aucun commentaire