Journal de l'esclave et amoureux de sa Maîtresse.

Marie a laissé mon sexe libre toute la semaine …pour mieux s’en servir. De lundi à jeudi, Elle m’a pris en Elle tous les matins au réveil. Et si je jouissais trop vite, Elle se terminait au god.
Ensuite, nous avons été très pris, car nous avons déménagé… J’aurais pensé que l’installation dans notre nouvelle maison aurait pu prendre la forme de jeux SM… Un meuble mal accroché, 50 coups de cravache…
Mais en réalité, l’humeur n’y était pas. Ni pour l’un, ni pour l’autre. Sachant que je devais partir dimanche pour une semaine, j’étais pressé d’installer une maison « vivable » avant mon départ. Nous étions très concentrés sur ce projet, ce qui ne laissait pas de place aux jeux SM et au sexe en général… sourire, quoique... On en a beaucoup parlé néanmoins. Tout en bricolant, nous avons poursuivi la recherche des dominants auxquels Elle me confierait.

J’ai beaucoup aimé ce moment amoureux d’installation dans notre maison. C’est notre amour que nous vivions, tout simplement. Et pour moi, c’est beaucoup plus important que les plaisirs SM. Je me suis senti heureux dans notre projet de vie. J’ai aimé installer notre vie qui changeait sous nos yeux… Nous détestons les déménagements l’un et l’autre, et pourtant c’est un moment que j’ai adoré. Il y a tant de choses que j’aime faire avec Marie.

Mon seul regret par rapport au SM, concerne l’état de Marie. Elle en a trop fait. Ce n’est pas l’idéal pour le bébé. Cela aurait vraiment été bien qu’Elle soit un peu plus princesse ; qu’Elle en fasse un peu moins et qu’Elle m’en demande davantage. Elle se serait mieux reposée. Mais Marie voulait absolument en faire sa part.

Dimanche, nous avons soufflé un peu. Elle m’a demandé de lui donner du plaisir, puis autorisé à me masturber en m’ordonnant de jouir sur ses fesses. J’ai dû ensuite lécher entièrement mon sperme qui coulait sur ses fesses et son sexe. Puis Elle s’est donnée du plaisir à nouveau. Nous nous sommes endormis quelques instants. Je pensais que nous ferions l’amour ensuite, mais à mon réveil, Elle m’a ordonné d’aller chercher la cage. Je me suis retrouvé rapidement enfermé sous le n° 219010 avec le point d’intrigue n°1, mais fixé à la garde du sexe, ce qui est plus sévère.

Je suis parti lundi matin. En une semaine de liberté, j’avais pris l’habitude de bander à volonté. Mais avec le retour de la cage, la sanction a été très sévère et immédiate. Pour peu, j’en aurais oublié que mon sexe appartenait entièrement à Marie et que mes plaisirs ne pouvaient être que Ses plaisirs. Je suis recadré dans mon désir de soumission.

J’ai beaucoup aimé que Marie m’impose la cage alors que je ne m’y attendais pas et que je n’en avais aucunement exprimé l’envie.
Cette prise de pouvoir autoritaire de sa part m’excite terriblement, je l’avoue. Je ne sais combien de temps durera 219010 ni ce qu’Elle en fera après mon retour à la maison, mais je suis fier de porter ce n° pour Elle et comblé dans mon désir de soumission lorsque les piquants me mordent… Ils me rappellent le sourire et la douceur de la peau de Marie. C’est du bonheur.
Mer 28 mar 2007 Aucun commentaire