Journal de l'esclave et amoureux de sa Maîtresse.

Nous nous sommes finalement retrouvés jeudi soir, très tard, après cette longue séparation. Quel bonheur que de dormir à nouveau l'un contre l'autre et de laisser nos peaux se retrouver.

Le matin, après le petit déjeuner, j'étais épuisé, je me suis couché. Marie est venue me rejoindre, s'inquiétant de l'état de son jouet dans la cage... Elle a commencé à me caresser le sexe et les seins : "Alors, ces piquants, ça fait mal ?" L'effet a été immédiat : une tentative d'érection aussi intense que douloureuse. J'ai gémi. Marie a aimé. Ses yeux étaient remplis de perversité, ça m'excitait...
Puis Elle est venue sur moi, collant son sexe contre la cage. Pressant lourdement avec son sexe sur les piquants. Une douleur intense, très intense, est partie de mon sexe, traversant tout mon corps. Mais je ne pouvais pas gémir fort, car il y avait du monde dans la pièce d'à côté. La situation a excité Marie, qui s'est branlée longuement, lourdement, jusqu'à l'orgasme en frottant Son sexe contre la cage. La souffrance dans mes yeux semblait l'exciter. Elle me répétait sans cesse : "Alors, tu aimes ça Ma salope ? Tu aimes quand J'appuie sur les piquants ? Et comme ça ? Oh oui, tu aimes... Tu es une petite salope..." Fou d'excitation par ce qu'Elle faisait et disait, je subissais la pression de Son sexe sur les piquants qui défonçaient le mien. J'aurais préféré le fouet ! Son plaisir était rempli de perversité, ce qui augmentait mon excitation. Oui, je me suis senti salope !
Après avoir jouit, Elle s'est allongée à mes côtés et demandé que j'embrasse Ses seins. En croisant Ses jambes, Elle a jouit une seconde fois, alors que mon sexe etait éreinté par la souffrance de mon érection.
Puis nous nous sommes douchés. Elle a ouvert la cage, que je portais depuis pas mal de jours, pour s'assurer que tout allait bien. Il y avait des petites blessures et des plaies superficielles. Marie a décidé de laisser mon sexe libre pour qu'il cicatrise, sans aucune permission de le toucher.

Le lendemain matin à mon réveil, je suis allé embrasser et lécher le sexe de Marie. Mais Elle avait du mal à jouir. Elle m'a ordonné de garder ma tête immobile, ma langue sortie. Elle s'est branlée Elle-même en frottant Sa chatte contre ma langue, sans que je ne puisse faire le moindre mouvement.
Ensuite, Elle m'a demandé de lui rappeller depuis combien de temps je n'avais pas éjaculé. 3 semaines. Elle m'a ordonné de me branler et de jouir en moins de 30 secondes. Ce que j'ai fait. Sans jouissance, sans plaisir. Il y a eu beaucoup de sperme. Marie m'a dit : "Voilà, tu peux remercier ta Maîtresse. Comme ça on est tranquilles pour quelques semaines. Dès que t'as cicatrisé, tu retournes dans la cage !"

Je n'ai toujours pas totalement cicatrisé. Donc je suis libre et je bande tout le temps. Ce soir, j'ai demandé à Marie de L'embrasser, de La lécher, de Lui faire l'amour. Sa réponse fût : "Tu n'as rien à demander. De toutes façons tu vas retourner très vite dans la cage. Il faudrait que tu n'oublies pas qui est la Maîtresse et qui est Son esclave."
Je me soumets...

Marie se prend de plus en plus au jeu de la Maîtresse et de l'esclave. Elle intensifie Son dressage. Ce n'est pas le dressage que je fantasmais, mais celui qu'Elle a envie d'accomplir sur ma personne. Je me soumets. Je plie. Je m'installe toujours plus dans la frustration et le désir permanent.

Elle est la Maîtresse, je suis l'esclave. Et j'avoue que ça m'excite franchement. Que j'y prends beaucoup de plaisir. Que cela me fait découvrir des idées, des sensations et des plaisirs inconnus. Une vraie petite salope.
Quand à Marie, Elle apprécie d'être désirée en permanence et d'en disposer à Sa guise. Elle prend de plus en plus souvent l'habitude de me donner des ordres dans la vie quotidienne et parfois, à demi mots, devant témoins. Un code entre la Maîtresse et l'esclave... J'accepte de mieux en mieux de refouler mes désirs, pour n'être plus que Ses désirs. C'est plus dur que la cravache, car ça touche l'esprit et pas le corps. Nous vivons une expérience magnifique, mon Amour.

Tu es la Maîtresse, je suis Ton esclave. J'adore quand tu prends la salope qui est en moi. Je t'aime.
Dim 14 oct 2007 1 commentaire
Alors ! Que ce passe t'il ? plus de nouvelles fraiches sur le blogue ? Avez vous trouvé ce couple pour continuer le dressage ?
Tit_coquin_novice - le 29/11/2007 à 08h13