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- : Journal de l'esclave et amoureux de sa Maîtresse.
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Réflexions
Mercredi 12 novembre
3
12
/11
/Nov
13:50
Est-ce la Maîtresse qui fait le soumis ou bien le soumis qui fait la Maîtresse
?
Dans l'absolu, c'est la Maîtresse qui fait le soumis.
Dans l'idéal, les deux devraient "se faire" mutuellement et ensemble.
Dans la réalité, c'est bien souvent le soumis qui fait la Maîtresse.
Tout simplement, parce que beaucoup d'hommes soumis ne sont pas si soumis que cela, qu'ils ont des femmes aimantes et dévouées et qu'à force de pressions, ils finissent par obtenir (ou pas) satisfaction de leurs désirs... Tout simplement aussi parce que leurs femmes n'ont pas forcément des désirs SM (et de domina) aussi intenses et impératifs que leurs maris ! Elles se prennent au jeu, plus ou moins, pour faire plaisir.
Je ne généralise pas, mais c'est le plus courant. Du moins, je le pense après avoir tchatté avec tant de profils si différents rencontrés sur les sites SM
Marie n'a pas souhaité que le soumis fasse la Maîtresse. Elle est particulièrement résistante à toutes formes de manipulations. Désirant, dans l'idéal, que l'on se fasse ensemble, Elle a fini par trouver l'absolu : c'est la Maîtresse qui est en train de faire le soumis !
Elle n'a jamais vraiment cédé à mes pressions. Elle a été patiente pendant de nombreux mois... Et j'ai fini par céder.
Très récemment, j'ai compris ce qu'Elle cherchait à me dire depuis si longtemps : "si je suis la Maîtresse, je suis maîtresse du plaisir et surtout du désir, à commencer par mon propre désir, même quand je n'ai pas de désirs ou du moins pas ceux que tu voudrais !"
Mes demandes s'effacent désormais devant Elle. Marie seule préside à la destiné de notre vie intime ainsi qu'aux jeux SM. J'ai fini par réprouver en moi-même tout sentiment de frustration quand j'ai l'impression qu'Elle n'est pas assez dominatrice ou bien que Son désir n'est pas assez fréquent ou intense. Ma sexualité se règle désormais sur les rythmes de celle de Marie, qui est beaucoup plus fluctuante.
Je me donne d'autant plus volontiers à ce jeu, qu'il me permet de toujours mieux comprendre, respecter et satisfaire la femme que j'aime par dessus tout.
J'ai le grand espoir de parvenir à transformer dans la durée ce que je viens de découvrir depuis peu. Devenir l'homme que Marie souhaite que je sois. Mes désirs, Elle les connaît très bien. À présent, il m'appartient d'écouter davantage les siens et de me laisser guider sur les voies nouvelles que nous trouverons ensemble, à l'écoute de Sa sexualité.
Je me croyais soumis, et je découvre que je ne l'étais pas. Je découvre aussi que Marie me donne la chance de me faire soumis.
Je l'accepte avec plaisir, mon Amour !
Dans l'absolu, c'est la Maîtresse qui fait le soumis.
Dans l'idéal, les deux devraient "se faire" mutuellement et ensemble.
Dans la réalité, c'est bien souvent le soumis qui fait la Maîtresse.
Tout simplement, parce que beaucoup d'hommes soumis ne sont pas si soumis que cela, qu'ils ont des femmes aimantes et dévouées et qu'à force de pressions, ils finissent par obtenir (ou pas) satisfaction de leurs désirs... Tout simplement aussi parce que leurs femmes n'ont pas forcément des désirs SM (et de domina) aussi intenses et impératifs que leurs maris ! Elles se prennent au jeu, plus ou moins, pour faire plaisir.
Je ne généralise pas, mais c'est le plus courant. Du moins, je le pense après avoir tchatté avec tant de profils si différents rencontrés sur les sites SM
Marie n'a pas souhaité que le soumis fasse la Maîtresse. Elle est particulièrement résistante à toutes formes de manipulations. Désirant, dans l'idéal, que l'on se fasse ensemble, Elle a fini par trouver l'absolu : c'est la Maîtresse qui est en train de faire le soumis !
Elle n'a jamais vraiment cédé à mes pressions. Elle a été patiente pendant de nombreux mois... Et j'ai fini par céder.
Très récemment, j'ai compris ce qu'Elle cherchait à me dire depuis si longtemps : "si je suis la Maîtresse, je suis maîtresse du plaisir et surtout du désir, à commencer par mon propre désir, même quand je n'ai pas de désirs ou du moins pas ceux que tu voudrais !"
Mes demandes s'effacent désormais devant Elle. Marie seule préside à la destiné de notre vie intime ainsi qu'aux jeux SM. J'ai fini par réprouver en moi-même tout sentiment de frustration quand j'ai l'impression qu'Elle n'est pas assez dominatrice ou bien que Son désir n'est pas assez fréquent ou intense. Ma sexualité se règle désormais sur les rythmes de celle de Marie, qui est beaucoup plus fluctuante.
Je me donne d'autant plus volontiers à ce jeu, qu'il me permet de toujours mieux comprendre, respecter et satisfaire la femme que j'aime par dessus tout.
J'ai le grand espoir de parvenir à transformer dans la durée ce que je viens de découvrir depuis peu. Devenir l'homme que Marie souhaite que je sois. Mes désirs, Elle les connaît très bien. À présent, il m'appartient d'écouter davantage les siens et de me laisser guider sur les voies nouvelles que nous trouverons ensemble, à l'écoute de Sa sexualité.
Je me croyais soumis, et je découvre que je ne l'étais pas. Je découvre aussi que Marie me donne la chance de me faire soumis.
Je l'accepte avec plaisir, mon Amour !
Lundi 21 mai
1
21
/05
/Mai
19:35
C'est quoi l'essentiel ?
Réaliser tous mes fantasmes ou me consacrer toujours mieux à la seule et unique satisfaction de mon Amoureuse ?
À nouveau, la réponse est dans la question. C'est la satisfaction de Marie qui me comble le plus, en tous points de vue. Cela relève de ses fantasmes et non des miens. À Elle seule de déterminer comment mes fantasmes peuvent rencontrer (ou pas) les Siens.
J'ai un fantasme qui prend le dessus sur tous les autres : me soumettre à Marie et m'épanouir dans cette appartenance sexuelle. Ce n'est pas un fantasme, mais une réalité au demeurant, car Marie est bien réelle, la cage aussi.
En définitive, c'est un fantasme très simple à réaliser, car la seule expression du sentiment amoureux fait naître mon plaisir à travers le plaisir de la femme que j'aime. La cage se pose avant tout comme un tatouage intime qui entretient mon état d'abandon, ainsi que le bonheur de sentir cet état comblé. C'est un tatouage actif, qui impose ses propres contraintes tout en participant au plaisir de mon Amoureuse.
Que signifierait la réalisation de mes fantasmes avec d'autres partenaires dominant(e)s, si ce n'était pour le plaisir de Marie ? C'est en devenant le sien, que mon plaisir devient le mien. Mon amour est Elle. Et c'est ainsi que s'épanouit ma sexualité.
Ce que je cherche depuis toujours, je l'ai déjà dans ma vie, depuis 8 ans, sans en prendre toute la mesure. Mes fantasmes, Marie les connaît mieux que je ne connais les siens. Si Elle veut jouer avec moi pour son plaisir, Elle peut le faire comme Elle l'entend, quand Elle l'entend. Elle a les clés de mon être.
Ce qu'Elle me donne est immense. Elle me le donne déjà depuis 8 ans, par son amour et en portant les clés de mon être.
Certaines frustrations peuvent générer du plaisir, d'autres de la déception. Mais je ne peux que me tourner vers moi-même et en moi-même, pour me construire en cela, quelque part comblé entre plaisir et déception. C'est la voie de mon désir d'abandon. Et ce désir, c'est pour Marie que je l'éprouve.
J'ai su dès le premier jour, il y a 8 ans, qu'une femme comme Marie ne pouvait être aimée que profondément. Non pas admirée, idôlatrée ou vénérée, mais aimée profondément. Elle est une femme intense C'est ce que j'aime. Et voilà pourquoi tous mes désirs convergent vers Elle depuis ce jour.
Réaliser tous mes fantasmes ou me consacrer toujours mieux à la seule et unique satisfaction de mon Amoureuse ?
À nouveau, la réponse est dans la question. C'est la satisfaction de Marie qui me comble le plus, en tous points de vue. Cela relève de ses fantasmes et non des miens. À Elle seule de déterminer comment mes fantasmes peuvent rencontrer (ou pas) les Siens.
J'ai un fantasme qui prend le dessus sur tous les autres : me soumettre à Marie et m'épanouir dans cette appartenance sexuelle. Ce n'est pas un fantasme, mais une réalité au demeurant, car Marie est bien réelle, la cage aussi.
En définitive, c'est un fantasme très simple à réaliser, car la seule expression du sentiment amoureux fait naître mon plaisir à travers le plaisir de la femme que j'aime. La cage se pose avant tout comme un tatouage intime qui entretient mon état d'abandon, ainsi que le bonheur de sentir cet état comblé. C'est un tatouage actif, qui impose ses propres contraintes tout en participant au plaisir de mon Amoureuse.
Que signifierait la réalisation de mes fantasmes avec d'autres partenaires dominant(e)s, si ce n'était pour le plaisir de Marie ? C'est en devenant le sien, que mon plaisir devient le mien. Mon amour est Elle. Et c'est ainsi que s'épanouit ma sexualité.
Ce que je cherche depuis toujours, je l'ai déjà dans ma vie, depuis 8 ans, sans en prendre toute la mesure. Mes fantasmes, Marie les connaît mieux que je ne connais les siens. Si Elle veut jouer avec moi pour son plaisir, Elle peut le faire comme Elle l'entend, quand Elle l'entend. Elle a les clés de mon être.
Ce qu'Elle me donne est immense. Elle me le donne déjà depuis 8 ans, par son amour et en portant les clés de mon être.
Certaines frustrations peuvent générer du plaisir, d'autres de la déception. Mais je ne peux que me tourner vers moi-même et en moi-même, pour me construire en cela, quelque part comblé entre plaisir et déception. C'est la voie de mon désir d'abandon. Et ce désir, c'est pour Marie que je l'éprouve.
J'ai su dès le premier jour, il y a 8 ans, qu'une femme comme Marie ne pouvait être aimée que profondément. Non pas admirée, idôlatrée ou vénérée, mais aimée profondément. Elle est une femme intense C'est ce que j'aime. Et voilà pourquoi tous mes désirs convergent vers Elle depuis ce jour.
Mercredi 7 février
3
07
/02
/Fév
16:14
Voici un document de 1960, extrait d'un manuel chrétien d'éducation des jeunes filles.
Cela choque terriblement mon féminisme, et flatte mes pulsion de soumission. Dequoi inspirer bien des dominatrices, à conditions d'inverser les rôles... sourire.
La partie sur la vie intime est très intéressante, en fin de document...
Cela choque terriblement mon féminisme, et flatte mes pulsion de soumission. Dequoi inspirer bien des dominatrices, à conditions d'inverser les rôles... sourire.
La partie sur la vie intime est très intéressante, en fin de document...
Mercredi 17 janvier
3
17
/01
/Jan
14:10
Marie, mon Amour.
Au commencement et avant tout, il y a l'amour. L'amour que je te porte, notre amour, celui que nous partageons.
Il y a notre vie que nous construisons au jour le jour, autour de nos projets communs. Une vie qui nous réserve souvent des surprises, au final des bonnes surprises. Une vie amoureuse que je trouve tous les jours un peu plus belle que la veille. Jusqu'où irons nous ? Même pas peur... J'en demande encore et encore, sans limite.
Il y a notre amour physique, qui n'a jamais faibli. La magie de nos peaux qui se touchent et se rencontrent dépasse les mots. Un bonheur sans cesse renouvelé. Tu es si belle, si désirable, si magnifique, si... Chaque regard vers toi me laisse bouche-bée, amoureux et heureux !
Ma sexualité est tournée vers la soumission. De ton côté, la domination n'est pas pour te déplaire... Nous jouons avec ces fantasmes depuis le commencement de notre histoire.
Cet été, nous avons décidé de nous engager davantage dans cette voie, installant une sexualité SM plus récurrente. Nous avons découvert de nombreux plaisirs merveilleux. Pour ma part, j'ai adoré. Quelques accessoires ont pris place dans notre intimité, et notamment la cage de chasteté, que je porte très souvent depuis août... Elle me rassure et je crois que son emprise sur moi n'est pas pour te déplaire. Aie, faut pas que je m'excite trop car ça me fait bander. Avec les "points d'intrigue", l'écriture de cette page pourrait tourner au supplice... sourire.
Je le reconnais, mon plaisir sexuel et amoureux s'exprime dans la soumission. Je suis ainsi fait. Ce n'est pas un fantasme, mais une réalité. Aussi, je m'adresse à toi pour te demander de me reconnaître comme définitivement soumis à ta personne. Je te livre ma soumission avec l'espoir que tu la prendras. Avec l'espoir que tu te reconnaîtras dans ta domination sur ma personne. Une domination totale, dont toi seule fixera la limite. Et pour ma part, une soumission intégrale, sans réserve ni limite, que je dépose à tes pieds.
J'aspire à construire une relation où chaque instant ne peut que rappeler que tu es la Maîtresse absolue et que je suis ton esclave. Un projet amoureux dans lequel chaque regard, chaque geste, chaque parole, chaque attention renforcent la position que je désire comme mienne à tes côtés, dans notre vie commune, pour le restant de notre vie.
Mon Amour, prends moi. Offres moi la chance de me réaliser dans ma soumission à ta personne. Reconnais moi comme ton esclave, reconnais toi comme ma Maîtresse.
Je rêve que nos journées soient émaillées de petits et de grands moments qui ne laissent aucun doute sur notre relation : tu es la Maîtresse, je suis l'esclave soumis.
Je rêve que la réalisation de ton plaisir soit le projet permanent et récurrent de notre amour.
Je rêve que la réalisation de ton bien être, de tes plaisirs et de tes jouissances prenne toujours plus de place dans notre vie et que j'en sois l'instrument.
Je rêve que tu prennes tout ce que je peux t'offrir.
Je rêve de toi. Je rêve avec toi. Je rêve en toi. Je rêve par toi.
Je rêve de cultiver le piédestal qui sera le tien.
Je rêve de quelque chose de symbolique -par le geste, la parole, les actes, un rituel ou autres- qui consacrerait résolument et définitivement la nature de cette relation entre nous. Quelque chose qui enterrinerait ma déclaration de soumission et ta reconnaissance de domination...
Mais n'est ce pas un peu trop fétichiste à ton goût ? Cela met il l'amour en danger ?
Nous savons l'un comme l'autre que la générosité se paie. Le don de ma personne pourrait ressembler à une emprise de ma part... Les soumis sont si manipulateurs... Mais ne saurais tu t'en protéger ? Je crois que si. Ne saurais tu me rappeler à l'ordre ? Je crois que si. Ne saurais tu me remettre à ma place ?
Je ne saurais dire combien je manipule ou pas. J'exprime ici mon désir. À toi d'en disposer selon ta confiance, ta conscience et ton envie.
Je t'aime et voilà où ça me mène... Étrange façon d'aimer, mais c'est la mienne et je sais que tu me connais bien et que tu sauras me pardonner cet excès, si tu juges que c'est un excès...
Au commencement et avant tout, il y a l'amour. L'amour que je te porte, notre amour, celui que nous partageons.
Il y a notre vie que nous construisons au jour le jour, autour de nos projets communs. Une vie qui nous réserve souvent des surprises, au final des bonnes surprises. Une vie amoureuse que je trouve tous les jours un peu plus belle que la veille. Jusqu'où irons nous ? Même pas peur... J'en demande encore et encore, sans limite.
Il y a notre amour physique, qui n'a jamais faibli. La magie de nos peaux qui se touchent et se rencontrent dépasse les mots. Un bonheur sans cesse renouvelé. Tu es si belle, si désirable, si magnifique, si... Chaque regard vers toi me laisse bouche-bée, amoureux et heureux !
Ma sexualité est tournée vers la soumission. De ton côté, la domination n'est pas pour te déplaire... Nous jouons avec ces fantasmes depuis le commencement de notre histoire.
Cet été, nous avons décidé de nous engager davantage dans cette voie, installant une sexualité SM plus récurrente. Nous avons découvert de nombreux plaisirs merveilleux. Pour ma part, j'ai adoré. Quelques accessoires ont pris place dans notre intimité, et notamment la cage de chasteté, que je porte très souvent depuis août... Elle me rassure et je crois que son emprise sur moi n'est pas pour te déplaire. Aie, faut pas que je m'excite trop car ça me fait bander. Avec les "points d'intrigue", l'écriture de cette page pourrait tourner au supplice... sourire.
Je le reconnais, mon plaisir sexuel et amoureux s'exprime dans la soumission. Je suis ainsi fait. Ce n'est pas un fantasme, mais une réalité. Aussi, je m'adresse à toi pour te demander de me reconnaître comme définitivement soumis à ta personne. Je te livre ma soumission avec l'espoir que tu la prendras. Avec l'espoir que tu te reconnaîtras dans ta domination sur ma personne. Une domination totale, dont toi seule fixera la limite. Et pour ma part, une soumission intégrale, sans réserve ni limite, que je dépose à tes pieds.
J'aspire à construire une relation où chaque instant ne peut que rappeler que tu es la Maîtresse absolue et que je suis ton esclave. Un projet amoureux dans lequel chaque regard, chaque geste, chaque parole, chaque attention renforcent la position que je désire comme mienne à tes côtés, dans notre vie commune, pour le restant de notre vie.
Mon Amour, prends moi. Offres moi la chance de me réaliser dans ma soumission à ta personne. Reconnais moi comme ton esclave, reconnais toi comme ma Maîtresse.
Je rêve que nos journées soient émaillées de petits et de grands moments qui ne laissent aucun doute sur notre relation : tu es la Maîtresse, je suis l'esclave soumis.
Je rêve que la réalisation de ton plaisir soit le projet permanent et récurrent de notre amour.
Je rêve que la réalisation de ton bien être, de tes plaisirs et de tes jouissances prenne toujours plus de place dans notre vie et que j'en sois l'instrument.
Je rêve que tu prennes tout ce que je peux t'offrir.
Je rêve de toi. Je rêve avec toi. Je rêve en toi. Je rêve par toi.
Je rêve de cultiver le piédestal qui sera le tien.
Je rêve de quelque chose de symbolique -par le geste, la parole, les actes, un rituel ou autres- qui consacrerait résolument et définitivement la nature de cette relation entre nous. Quelque chose qui enterrinerait ma déclaration de soumission et ta reconnaissance de domination...
Mais n'est ce pas un peu trop fétichiste à ton goût ? Cela met il l'amour en danger ?
Nous savons l'un comme l'autre que la générosité se paie. Le don de ma personne pourrait ressembler à une emprise de ma part... Les soumis sont si manipulateurs... Mais ne saurais tu t'en protéger ? Je crois que si. Ne saurais tu me rappeler à l'ordre ? Je crois que si. Ne saurais tu me remettre à ma place ?
Je ne saurais dire combien je manipule ou pas. J'exprime ici mon désir. À toi d'en disposer selon ta confiance, ta conscience et ton envie.
Je t'aime et voilà où ça me mène... Étrange façon d'aimer, mais c'est la mienne et je sais que tu me connais bien et que tu sauras me pardonner cet excès, si tu juges que c'est un excès...
Mardi 16 janvier
2
16
/01
/Jan
15:03
Nul ne peut ignorer qu'une des attentes majeures d'une personne soumise est LA PUNITION !
Elle est à la fois désirée et redoutée. Objet de plaisir et de souffrance. Moment de retour sur soi qui consacre la soumission et renforce le dressage. Elle est au coeur de la relation SM.
La personne soumise ne peut que rechercher une soumission, qu'elle fera tout pour éviter néanmoins. Une situation inextricable qui confine au piège. Une sorte d'enfermement qui flatte les attentes de la personne soumise.
Le personne dominante utilise son droit à la punition comme bon lui semble. Ce peut être par pur plaisir sadique, ce peut être pour une récompense, ce peut être pour assurer les acquis d'un dressage en cours... Et fin du fin, l'absence de punition peut en devenir une encore plus forte, par le jeu de la frustration...
Quelle est la punition la plus gratifiante et extatique pour la personne punie ? Celle qu'elle aura désirée et demandée ? Ou celle qui aura été avant tout décidée par la personne dominante ?
Voilà pour le contexte.
Marie n'aime pas spécialement me punir souvent, alors que j'aspire sans doute à vivre auprès d'Elle dans un régime qui serait marqué par la punition... Le plaisir d'une punition demandée et accordée par gentillesse est un peu décevant, en ce qu'il ne consacre pas totalement les enjeux d'une relation Maîtresse-esclave... La meilleure des punitions sera toujours celle qui est voulue et décidée par la Maîtresse en dehors de toutes considérations de l'esclave.
Que dois-je faire pour être puni ? Commettre une faute et recevoir la punition comme une correction ou me comporter de façon irréprochable et recevoir la punition comme une récompense ? ...c'est un problème métaphysique que je me pose souvent... Des heures durant... L'idéal serait de lui donner envie de me punir. Mais j'en reviens à la même question : en fautant ou en ne fautant pas.
Puisque la punition ne vient pas, j'en viens à penser que je suis puni en étant frustré de punition. Elle le sait et en joue quand Elle me dit que je ne mérite pas d'être puni. On reste dans le jeu, on s'arrange bien ensemble. On intègre ma frustration dans notre jeu.
Et là je m'interroge... Mon désir de soumission à ma Maîtresse m'autorise-t-il à désirer une forme de soumission plutôt qu'une autre ? Si Marie préfère ne pas recourir à la punition mais à la frustration, c'est Sa décision, car Elle est la Maîtresse. Si je me reconnais comme soumis à Sa personne, ce ne peut être qu'à Ses conditions et à aucune autre... Ai-je le droit de désirer autrement ? De suggérer ? De manipuler ?
Tout le monde sait que les soumis sont très manipulateurs pour arriver à leurs fins. Ma Maïtresse attend de moi que, pour commencer, je rennonce à toute tentative de manipulation (en fautant pour avoir une punition, par exemple) ? Une soumission bien plus totale, mais qui sort du folklore SM et s'accorde davantage aux plaisirs de ma Maîtresse qu'à mes fantasmes.
Comment apprendre à devenir totalement clean de toute tentative de manipulation ?
Comment attendre que Marie me punisse pour Son plaisir ? Comment accepter que peut être, elle ne me punira pas ou peu ?
Voilà quelques tortures mentales qui maltraitent l'esprit d'un soumis dans la solitude.
Elle est à la fois désirée et redoutée. Objet de plaisir et de souffrance. Moment de retour sur soi qui consacre la soumission et renforce le dressage. Elle est au coeur de la relation SM.
La personne soumise ne peut que rechercher une soumission, qu'elle fera tout pour éviter néanmoins. Une situation inextricable qui confine au piège. Une sorte d'enfermement qui flatte les attentes de la personne soumise.
Le personne dominante utilise son droit à la punition comme bon lui semble. Ce peut être par pur plaisir sadique, ce peut être pour une récompense, ce peut être pour assurer les acquis d'un dressage en cours... Et fin du fin, l'absence de punition peut en devenir une encore plus forte, par le jeu de la frustration...
Quelle est la punition la plus gratifiante et extatique pour la personne punie ? Celle qu'elle aura désirée et demandée ? Ou celle qui aura été avant tout décidée par la personne dominante ?
Voilà pour le contexte.
Marie n'aime pas spécialement me punir souvent, alors que j'aspire sans doute à vivre auprès d'Elle dans un régime qui serait marqué par la punition... Le plaisir d'une punition demandée et accordée par gentillesse est un peu décevant, en ce qu'il ne consacre pas totalement les enjeux d'une relation Maîtresse-esclave... La meilleure des punitions sera toujours celle qui est voulue et décidée par la Maîtresse en dehors de toutes considérations de l'esclave.
Que dois-je faire pour être puni ? Commettre une faute et recevoir la punition comme une correction ou me comporter de façon irréprochable et recevoir la punition comme une récompense ? ...c'est un problème métaphysique que je me pose souvent... Des heures durant... L'idéal serait de lui donner envie de me punir. Mais j'en reviens à la même question : en fautant ou en ne fautant pas.
Puisque la punition ne vient pas, j'en viens à penser que je suis puni en étant frustré de punition. Elle le sait et en joue quand Elle me dit que je ne mérite pas d'être puni. On reste dans le jeu, on s'arrange bien ensemble. On intègre ma frustration dans notre jeu.
Et là je m'interroge... Mon désir de soumission à ma Maîtresse m'autorise-t-il à désirer une forme de soumission plutôt qu'une autre ? Si Marie préfère ne pas recourir à la punition mais à la frustration, c'est Sa décision, car Elle est la Maîtresse. Si je me reconnais comme soumis à Sa personne, ce ne peut être qu'à Ses conditions et à aucune autre... Ai-je le droit de désirer autrement ? De suggérer ? De manipuler ?
Tout le monde sait que les soumis sont très manipulateurs pour arriver à leurs fins. Ma Maïtresse attend de moi que, pour commencer, je rennonce à toute tentative de manipulation (en fautant pour avoir une punition, par exemple) ? Une soumission bien plus totale, mais qui sort du folklore SM et s'accorde davantage aux plaisirs de ma Maîtresse qu'à mes fantasmes.
Comment apprendre à devenir totalement clean de toute tentative de manipulation ?
Comment attendre que Marie me punisse pour Son plaisir ? Comment accepter que peut être, elle ne me punira pas ou peu ?
Voilà quelques tortures mentales qui maltraitent l'esprit d'un soumis dans la solitude.
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