Mercredi 26 septembre
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19:43
L'autre jour, alors que j'étais frustré, je rêvais... Je fantasmais... Je songeais à une forme de rendez vous quotidien avec Marie, durant les périodes de domination ou de chasteté. Un rendez vous quotidien où je me présenterais obligatoirement et systématiquement à Elle pour témoigner de ma soumission et lui renouveler le loisir d'en disposer à Sa guise. Quelque choses de simple, qui entretiendrait le jeu, sans pour autant peser ni sur le quotidien, ni sur les esprits.
Par exemple, Elle m'ordonnerait de me présenter à Elle systématiquement, sans qu'Elle n'ait à me le demander, tous les matins après Sa douche. Je me mettrais à genoux devant Marie, la cravache entre les dents... Une renouvellement quotidien de mon engagement de soumis.
Elle en disposerait à Sa guise, selon Son humeur de l'instant. Elle peut me frapper, comme m'ignorer et me laisser ainsi à genoux un certain temps sans rien dire. Elle peut aussi me demander de me relever et de ranger la cravache (donc ne rien faire du tout, si Elle n'est pas d'humeur). Elle peut également me donner son sexe à embrasser, m'ordonner d'aller chercher des accessoires ou de me travestir... Me punir ou pas... Etc.
J'aurais simplement l'obligation impérieuse de me proposer à Elle tous les matins après Sa douche. Car je sais qu'Elle apprécie particulièrement ce moment. Cela ouvrirait à un jeu de quelques secondes, ou plus long ou pas de jeu de tout. Elle ne se sentirait ni contrainte, ni harcelée...
Juste, Elle m'aurait ordonné de me proposer à Elle tous les matins...
Par Marie et Nico
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Vendredi 25 mai
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09:34
Marie mon Amour,
Bien tenu par la cage, j'essaie d'apprendre la leçon et de tirer tous les bénéfices du dressage doux que Tu entretiens... Cela devient spirituel.
J'aime ma Maîtresse et Son dressage, avec une passion toujours accrue. Padonnes moi, si parfois je déborde en essayant de Te mener sur le chemin de mes désirs. Merci de ne pas faiblir et de maintenir le cap à Ta façon. Car Toi seule peut ordonner la direction... Le but n'est pas de réaliser mon plaisir, mais de me plus conduire à ne plus le réaliser autrement que dans le Tien. C'est la sexualité que je désire, si Tu l'acceptes. Je m'engage sur cette voie, si Tu me le demandes.
Alors j'apprends à m'épanouir dans l'attente permanente de Toi, de Tes demandes...
J'apprends la patience et à nourrir Tes silences comme des pleins qui comblent mes attentes.
J'apprends à aimer la force de Ta détermination.
J'apprends à ne plus demander.
J'apprends à déjouer mes désirs pour mieux écouter les Tiens.
J'apprends à entrer dans le rythme de Ta libido.
J'apprends à demeurer l'objet qui se cadence au rythme de Tes seuls désirs.
J'apprends à demeurer auprès de Toi, pour Te donner toujours plus de force.
J'apprends à vivre dans Ta présence, même lorsque Tu es absente.
Je me nourris de la passion pour Tes sourires, Ton odeur, Ton goût. C'est si bon de me coucher, de dormir et de me lever contre Toi.
Je cherche la voie par laquelle la frustration nourrira le bonheur de Te servir et me comblera totalement.
Lorsque mon plaisir aura totalement et définitivement fondu dans la seule réalisation du Tien, alors je serai dressé. Alors nous serons libres de jouer sans arrière pensée, Ton plaisir au centre du jeu.
La cage et Ta détermination feront elles de moi la geisha amoureuse et attentive que Tu sembles désirer ? Je le souhaite, car c'est un très bel idéal amoureux, qui me fait profondément rêver. Un vrai bonheur de sentir que je pourrais devenir cela pour Toi. Apprends moi encore...
Par Simon
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Samedi 19 mai
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11:01
Solidement verrouillé dans ma cage, la frustration génère toujours plus de désirs et de fantasmes. Mes nuits en sont remplies...
Je rêve de subir la domination la plus sauvage de Marie. Des punitions, des ordres rigoureux, de l'humiliation souveraine, des partenaires à nos jeux, de l'utilisation de tous nous jouets SM... Je rêve, je rêve, je rêve, entretenant un désir permanent, totalement orienté vers Marie (et vers la satisfaction de mes fantasmes).
Mais Marie ne rêve pas. Elle est sur terre. Ce n'est pas la domination la plus engagée qui Lui fait envie. Ce qu'Elle apprécie, c'est de savoir mon sexe enfermé, exclusivement réservé à Sa personne. Ce qu'Elle apprécie, c'est ce pouvoir. Ce qu'Elle apprécie, c'est l'état dans lequel je suis, doux, tendre, dévoué et toujours plus amoureux.
Mes furstrations sont mon affaire, que je dois sublimer. Je dois accepter que c'est moi qui porte la cage, et pas Marie. C'est moi qui ne pense qu'au SM et pas Elle. C'est moi qui suis traversé par les fantasmes avec avidité et pas Elle.
Marie a ce qu'Elle veut, sans en faire davantage. Juste fermer et ouvrir le cadenas. Elle consomme le sexe et les fantasmes à son rythme et non au mien. En portant la clé, Elle donne la cadence du jeu. Dussé-je trouver que le jeu n'est pas aussi poussé que je le désirerais... C'est sur ce point que je dois apprendre à plier si je suis sincère dans mon désir de soumission et devenir toujours moins manipulateur. La règle.
Si Marie domine, Elle ne peut le faire qu'à Sa façon et avant tout pour Sa satisfaction. Quitte même a m'imposer toutes les fluctuations de son désir et même les moments où celui-ci est très simple, voire absent. Seul son désir compte, sans que je n'ai à interférer.
Cette forme de SM ne fait pas les grandes pages des sites SM. Mais c'est la façon de Marie. La seule qui doit compter pour moi. C'est cet apprentissage là que j'ai tant de mal à accepter. C'est néanmoins la base.
Marie... Je t'aime.
Je crois que la cage recommence à faire son "petit effet". Je croise les doigts pour tenir bon. Pour apprendre et m'adapter. Pour m'y soumettre vraiment, sans créer de tensions avec mes frustrations, exigences et autres petites manipulations.
En phase uniquement avec ton désir, pour ton plaisir.
Par Marie et Simon
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Jeudi 15 mars
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10:45
Ce soir, c'est une grande première. Marie a décidé que nous nous rendrons dans un club SM... On en parle depuis longtemps, mais on ne l'a jamais fait...
Vers 21h00, Marie me demande de me mettre nu. Elle inspecte mon corps, mon odeur, mon épilation... Elle remarque quelques poils sur mon sexe. Elle ouvre le cadenas de la cage de chasteté et m'ordonne d'aller parfaire mon rasage... L'ouverture de cette cage, que je porte depuis 5 semaines est un vrai soulagement. Je bande dur, le seul fait de toucher mon sexe me met au bord de l'éjaculation... Marie s'en aperçoit et m'impose une douche et un rasage à l'eau glacée...
J'ai dans l'idée que mon sexe sera libre et accessible dans ce club SM... Je m'en réjouis, même si je suppose qu'il ne me sera probablement pas autorisé de jouir, car je sais que Marie aime garder ces petits plaisirs pour Elle seule.
Une fois douché, rasé et séché, Marie de regarde en souriant. La douche était très glacée, j'ai froid, je tremble. Elle profite du moment, puis me demande de venir la masser sur le lit, ce qui devrait me réchauffer selon Elle. Mon sexe est libre, je bande très dur. Elle joue parfois à le caresser dès qu'il faiblit, pour me maintenir très excité.
Le massage terminé, elle se retourne vers moi :
"Va chercher la cage et tu prendras les piquants de la taille n°3, les plus longs !
- Mais on ne les a jamais essayés. On ne sait même pas si je les supporte...
- Ce sera une bonne façon de savoir... Parce que je pense que tu seras très soumis ce soir, donc très excité. Les piquants te feront le plus grand bien en te mordant très fort. C'est ça que tu aimes, n'est ce pas...
- Euh...
- Va les chercher. Moi je le veux !"
Je reviens avec la cage. J'ai dû mettre de la vaseline pour y faire entrer mon sexe, tant il était dur. J'installe les piquants de taille n°3. Ils sont très longs et très saillants. Ils me font mal d'emblée. Marie me demande d'approcher et de lui présenter mon sexe...
Elle serre la cage d'un geste sec puis la verrouille avec un cadenas en acier. La douleur des piquants est immédiate, intense... Je suis obligé de réprimer mon excitation. J'en mène pas large. Marie me sourit : "Ce soir, tu seras puni par les piquants à chaque fois que tu prendras du plaisir dans ta soumission. Tout plaisir te fera très mal au sexe... Comme ça, je suis certaine que tu ne cesseras pas de penser à Moi, quand tu seras entre d'autres mains...
— Entre d'autres mains ?
— Tu verras bien sur place. Je t'ai déjà dit que je n'avais pas envie de te dominer moi-même là bas. Je serais trop indulgente avec toi, si je le faisais moi-même... Ce n'est ni ce que tu mérites, ni ce qu'il te faut, ni ce dont tu as envie. On trouvera plus sévère et plus exigeant que moi. Habilles toi à présent."
Pris par la douleur de mon sexe qui demeure dur, je sors de l'armoire la tenue SM que nous avions achetée en prévision, il y a dejà quelques mois. Il y a un pantalon en cuir, une chemise noir et un string en cuir. Lorsque je mets le string, Marie éclate de rire... Et moi aussi, car je suis vraiment ridicule avec ce petit slip en cuir... Ce rire a le mérite de calmer mon érection.
Marie revêt de son côté une majestueuse tenue noire en satin. Je m'approche pour l'embrasser, mais Elle me repousse. Je comprends que son corps m'est désormais totalement inaccessible.
Nous arrivons vers 22h30 à ce club SM... Passé l'accueil, nous nous dirigeons vers le vestiaire. Une jeune femme nous invite à nous changer et déposer nos affaires, si on le souhaite. Marie se défait de sa veste, puis me demande de retirer tous mes vêtements ainsi que ma montre, à l'exception du string qui dissimule à peine la cage de chasteté.
Elle me regarde en souriant complice, avec la jeune fille du vestiaire... Je me sens gêné, ça m'excite et les piquants commencent leur travail. Marie rit et me pinçant les seins.
Puis Marie me demande de mettre les mains dans le dos et me passe des menottes. Elle attache ensuite un collier autour de mon cou, avec une laisse, puis accroche la clé des menottes au collier. "Voilà, comme ça, tu ne pourras pas libérer tes mains sans trouver une bonne âme qui aura pitié de toi ou besoin de tes mains..."
Elle prend un baillon boule et s'approche de moi :
"As tu quelque chose à dire ?
— Non.
— T'es sûr, parce que je vais te mettre ce baillon et que tu ne seras plus autorisé à parler de la soirée.
— Je t'aime."
Elle met le baillon boule dans ma bouche et le fixe solidement derrière ma nuque.
Puis marie revient avec un masque pour les yeux : "Regardes moi bien, car tu ne me verras plus de la soirée." Puis elle fixe le masque sur mes yeux.
Me voilà prêt, selon Marie : menoté, tenu en laisse, muet et sans la vue, en string.
Marie prend la laisse et me conduit lentement vers la cave d'où provient de la musique et quelques rumueurs, ainsi que de lointains gémissements de plaisir et de douleur.
Apparemment, notre entrée est remarquée, car il se fait un petit silence...
Marie me met debout contre un mur et je sens la laisse se tirer vers le haut. Elle l'attache à un crochet, car je ne peux plus me déplacer... Obligé de rester ainsi, debout, attaché par le col et les mains liées. Puis je sens que MArie écrit quelque chose d'assez long sur mon corps avec un feutre.
Une fois fini, Elle vient me parler à l'oreille en caressant mon sexe, ce qui me procure une intense douleur à cause des piquants :
" Voilà, tu es prêt. Et en plus tu bandes dans ta cage. J'adore... Tu dois avoir très mal... C'est bon ! Vraiment, j'adore... Maintenant, je vais te laisser et tu auras toute la soirée pour découvrir ce que j'ai écrit sur ton corps. Peût -être que des personnes viendront te libérer pour s'occuper de toi... Peut être qu'il ne se passera rien du tout. Tu verras bien... Si des personnes viennent te prendre, tu devras accepter tout ce qu'elles t'ordonneront et ça devrait te permettre de deviner ce que j'ai écrit. J'espère que tu prendras beaucoup de plaisir et que la morsure des piquants te comblera... Taille n°3, ça va faire très mal à mon amoureux. Mais il aime ça, pas vrai ? Quand à moi, je ne m'occuperai pas de toi. J'ai bien l'intention de me faire plaisir, à ma façon, mais sans toi... Peut-être que tu entendras parfois ma voix, mes rires, mes gémissements, mes soupirs ou mes cris de plaisir... Peut être aussi que tu ne m'entendras pas du tout, car je serais partie ailleurs prendre mon pieds. Pour ce soir, je t'abandonne ici. Le patron de la boîte est chargé de te libérer dans 3 heures si personne ne l'a fait d'ici là... Et tu dois être rentré à 4h00 du matin au plus tard. Quand à moi, je rentrerai quand je rentrerai... Courage, mon amour, tu vas adorer... Oh mais oui que tu adores, je vois que tu bandes dans ta cage. Hm, c'est bon les piquants. Et sois sage..."
M'abandonnant à la douleur des morsures des piquants, Marie s'éloigne après avoir mordillé mes seins... Puis je l'entends parler avec des gens, sans comprendre ce qu'ils se disent...
Un peu plus tard, je sens des personnes s'approcher de moi. Certain(e)s me touchent, d'autres baissent mon string et jouent avec la cage. Parfois, je reçois une fessée rapide ou bien des doigts viennent pincer durement mes seins et s'amusent à me faire bander ainsi, une autre personne touche mes fesses et les écarte, introduit un doigt et le ressort... Je suis offert à tous vents, vulnérable et impuissant. Entre deux visite, je continue d'attendre debout, attaché, immobile, disponible... De temps en temps, j'entends les rires de Marie. Plus tard, j'entends aussi les gémissements de plaisir d'une femme, au loin, et je crois reconnaître que ce sont ceux de Marie, mais je n'en suis pas sûr et je n'en saurai rien, car je suis certain qu'Elle me frustrera de savoir ce qu'Elle a fait durant cette nuit... C'est dans son pouvoir.
Puis bien plus tard, je sens une cravache caresser mon torse, mon visage, mon sexe, mes jambes... Je reçois deux petits coups sur les fesses, puis la main qui tient la cravache détache la laisse et m'emmène avec elle. Je ne sais s'il s'agit d'un homme ou d'une femme, ni ses intentions, mais je la suis, tenu en laisse, les mains menottées, le visage masqué, la bouche baillonnée... On arrive dans une autre pièce. Je sens la présence de plusieurs personnes autour de moi. On détache mes menottes. Mes bras sont libres, mais pas pour longtemps. On me les attache, écartés, à des crochets en hauteur. Puis on m'écarte les jambes avant de les attacher à quelque chose dans cette position. Je crois bien que je ne vais pas tarder à comprendre le sens de ce que Marie a écrit sur mon corps.
Par Marie et Simon
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Mercredi 7 mars
3
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/Mars
22:22
Je porte la cage depuis 3 semaines, sans qu'elle ait été ouverte. Marie et moi sommes couchés paisiblement, amoureusement. Sa tête est posée sur mon épaule, je suis allongé sur le dos, Elle me caresse le torse... Notre position, très tendre et traditionnelle, ne laisse aucunement penser que je suis encagé et soumis. C'est un simple moment d'amour léger, comme nous les affectionnons tant.
Puis Marie me demande : "Ça fait combien de temps que tu n'as pas jouit ?
— 3 semaines je crois.
— Intéressant !"
Son visage s'illumine d'un large sourire. Sa main descend vers mon sexe, qu'elle caresse (ou du moins les parties qui ne sont pas emprisonnées dans la cage, à savoir mes couilles).
"Ne bandes pas, tu vas te faire piquer par les points d'intrigue !"
Et ses caresses deviennent de plus en plus lascives. Mon érection se développe rapidement et je suis aussitôt torturé sévèrement par les points d'intrigue. Je gémis... Marie semble ne pas s'en soucier et continue de me caresser. La souffrance s'intensifie sur mon sexe.
"Tu as mal ?
— Oui.
— Ça te fait bander quand je te fais mal ?
— Oui.
— Tant mieux, c'est ce qui m'intéresse."
Marie continue d'exciter mon sexe et mes seins qu'elle pince vigoureusement. Puis Elle vient s'asseoir sur ma bouche. Elle est tournée face à mon sexe, qu'elle caresse d'une main, réservant l'autre à me pincer les seins. J'embrasse son sexe en gémissant sous les douleurs du mien.
" On dirait que t'as envie de bander... Allez, je ne suis pas cruelle, je vais te doner une chance pour t'exprimer" me dit-elle en riant avant de déchirer d'un coup le cadenas en plastique de la ceinture de chasteté qui me torture. Elle retire la cage puis caresse mon sexe engourdi et excité qui durcit rapidement. J'embrasse le sien.
Elle se redresse et s'avance vers mon sexe, puis se retourne vers moi. Marie s'enfourche sur mon sexe et me prend profondément en Elle : "Je vais te baiser..."
Elle va et vient avec mon sexe, mue par une excitation intense. J'ai rapidement envie de jouir, je la préviens. Elle se retire d'un coup. Mon sexe dur et excité tremble dans le vide, saisi de spasmes, en quête d'une jouissance imminente qui a été étouffée. Mon gland est brûlant. Marie me fixe longuement :
" Je ne t'ai pas permis de jouir si vite. Je sens que si je te reprends en moi, tu vas jouir de suite. C'est regrettable ! Allez, lèves toi. Va laver ton sexe et ta cage, puis reviens avec un nouveau cadenas. Tu prendras les piquants de la taille 2 !"
Je m'exécute, puis lui présente mon sexe lavé et enfermé dans la cage propre ainsi que le cadenas en plastique numéroté prêt à être posé. Elle s'en empare et me le fixe immédiatement, sans hésitation. Une fois verrouillé, Elle en cache le numéro de sa main...
"Quel est le numéro du cadenas ?
— Je ne me souviens pas...
— C'est regrétable... Deux fois de suite, regrettable ! Quelle est la plus longue période que tu as porté la cage ?
— 3 semaines.
— Bien. Alors nous allons changer de dimension... Nous allons parler en mois désormais et non plus en semaine. Tu auras tout le temps comprendre ce que signifie une chose regrettable pour moi. Mais je serai clémente. Tu ne porteras cette cage que pendant 3 mois. Elle demeurera fermée durant tout ce temps. 3 mois, ça devrait être suffisant pour apprendre le numéro du cadenas par coeur. Et n'espère aucune clémence de ma part. C'est une décision définitive et sans retour ! 3 mois durant lesquels tu ne pourras ni jouir, ni toucher ton sexe, ni même t'exciter sous peine de te faire torturer par les points d'intrigue. Durant cette période, je prendrai mon plaisir de toutes les façons qui me plairont. Où je veux, quand je veux, comme je veux et avec qui je veux... Mais nous en reparlerons plus tard... À présent, je veux que tu sortes de la chambre. Je voudrais me faire du bien toute seule. Allez, sors !"
Par Marie et Simon
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Dimanche 28 janvier
7
28
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/Jan
14:39
Je quitte la maison pour quelques jours. Déplacement professionnel...
Je porte la cage depuis une ou deux semaines. Cadenas n°219155.
Comme toujours, j'envoie une photo de la cage tous les matins à Marie par email pour témoigner de ma soumission et pour prouver que je suis toujours bien cadenassé.
À l'endroit où je travaille, une amie de Marie est également présente. Je ne la connais que très peu. Nous nous saluons sympathiquement, mais sans s'éterniser... Le soir, je croise encore une fois Isabelle, cette amie. En allant se coucher, elle me dit avec un sourire malicieux : "Bonne nuit, Monsieur 219155 !"
J'en suis tout bouleversé. Je rougis... Marie aurait--elle parlé de nos jeux à une de ses amies ? C'est la seule explication possible. Elle ne l'a jamais fait auparavant...
Isabelle est dans la confidence, elle sait que je suis soumis et que mon sexe est verrouillé. Je sais qu'Isabelle est une amie loyale envers Marie, par conséquent, il n'y aura pas d'ambiguité. Marie a t elle une idée derrière la tête ? Laquelle ?
Je me couche troublé, gêné et excité... Normal, quoi ! J'envoie un SMS à Marie avant de dormir "Douce nuit mon Amour. J'essaie de rester sage dans ma cage, mais je suis très excité... Les piquants sont très mordants. Je crois que ton amie Isabelle a fait ce qu'il fallait, sans doute à ta demande, pour en remettre une couche"... Puis je m'endors.
Le matin à 8h00, on frappe à la porte de ma chambre. J'ouvre. C'est Isabelle :
"Bonjour Monsieur 219155. Marie m'a chargé de surveiller ta toilette et la bonne tenue du cadenas. Je suis pressée. Désabilles toi et attends moi dans la salle de bain !"
Je m'apprête à lui demander ses intentions, mais elle me coupe la parole avant que je n'ai pu dire un mot : "Et je te demande de garder le silence. On n'est pas là pour causer mais pour te laver ! Allez, dans la salle de bain"
Je me mets nu, sous le regard amusé d'Isabelle. Je suis un peu gêné. Elle regarde la cage avec curiosité : "Pas mal ce truc, ça a l'air efficace... Allez rentre dans la baignoire !" J'exécute et je m'empare du pommeau de douche... "Hé là, doucement. Que fais tu ? C'est moi qui mouille !"
Je lui tends la douche. Elle ouvre le robinet d'eau froide uniquement et sans ménagement, elle arrose tout mon corps. Je pousse un grand cri sous la morsure de l'eau glacée. "Tais toi, je ne veux pas qu'on se fasse remarquer. Laves toi à présent. Ça tu peux le faire tour seul."
Je prends le savon que je passe sur tout mon corps. Puis j'attrappe un petit bâtonnet que je savonne et que j'introduis dans les interstices de la cage, pour nettoyer mon sexe et le plastique qui l'emprisonne. Isabelle sourit et prend une photo avec son téléphone, qu'elle envoie par SMS apparemment. Sans doute à Marie. Puis elle me dit : "Mais c'est qu'il a bien pris soin de sa petite cage et du jouet de sa Maîtresse. C'est bien. Je vais te rincer"
Elle reprend la douche et me rince à l'eau glaciale. Je me retiens de gémir en serrant le dents. je me sens un peu honteux, ce qui semble l'amuser. Elle arrose tout mon corps énergiquement, à plusieurs reprises, s'amusant de me voir fuir le jet glacial, de voir mes membres se crisper, appréhender... J'ai froid, je tremble. Elle éteint l'eau et me demande de me sécher puis de m'habiller.
Elle m'observe d'un sourire amusé. Lorsque je suis prêt, elle quitte la chambre en disant : "Merci pour le spectacle. À demain, Monsieur 219155".
Par Simon
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