Journal d'un soumis

Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 10:54
Après de longs mois de répit, marqués par une vie professionnelle particulièrement chargée pour chacun et aussi par une certaine distance entre nous, Marie a renoué hier avec la cage.
Était-ce pour son plaisir ou pour me faire plaisir ? Je ne tarderai pas à le savoir, selon l'évolution ou pas de ce nouveau jeu de domination.

Cela s'est passé hier, après le dîner. Elle m'a demandé de lui donner du plaisir avec ma bouche, mais à la différence de son habitude, Marie n'a pas souhaité que je vienne en elle ensuite... Mon sexe était dur, prêt à servir son plaisir et le mien... Elle m'a demandé d'aller cherche la cage de chasteté et de la mettre sur le champ. Et c'est ainsi que je me suis retrouvé enfermé, avec un cadenas plastique, sous le n°219206. Voilà bien longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

J'ai retrouvé mes marques rapidement et le désir de me masturber hante à nouveau mon esprit toute la journée !
Voilà plusieurs semaines que je me masturbais en imaginant que je portais la cage tandis que Marie avait des amants et amantes, qu'elle m'offrait également à ses partenaires comme l'esclave sexuel de tous leurs plaisirs... À présent, je porte la cage et ne peux plus me masturber de cet imaginaire qui est d'autant plus fort que mon sexe est sous scellées.
Rien que de l'évoquer provoque une forte érection, rendue douloureuse par la cage qui, fort heureusement, n'est pas équipée de piquants, cette fois-ci.


Le port de la cage, ça rend très soumis. Naturellement... Sans effort pour la dominatrice !

Je ne puis que dire merci à Marie.
Je te le rendrai au centuple dans tous les plaisirs que tu souhaiteras prendre avec ton amoureux, vénérateur de ta beauté. Je n'attends que de sentir ton pouvoir s'emparer de moi, le temps d'un jeu. Prêt à tous les tourments et toutes les turpitudes...

Mais sans doute ai-je trop d'attentes ? Je ne tarderai pas à en avoir le coeur net. Attention, pas trop d'emballement, sous risque de casse. On réprime ses ardeurs de soumis, aussi longtemps que l'on n'est pas certain de ce que la maîtresse ait envie de dominer... Autrement dit, un peu soumis mais pas trop pour ne pas encombrer.  Disons plutôt, encagé mais pas vraiment soumis, car on ne peut pas se soumettre tout seul ! sourire...
Il m'est arrivé de voir des vidéos de soumises ou soumis qui s'auto-administrent des fessées érotiques. C'est pathétique, mais ils sont bienheureux, ceux qui parviennent à explorer les méandres de leurs désirs de soumission sans avoir besoin de personne.

Marie se réveillera t elle un matin résolument sadique, joueuse et perverse ? Demain ? Après demain ? Un peu plus tard ?
Ce n'est pas sa nature profonde, mais je sais qu'elle peut être très joueuse et que ces jeux ont le mérite de l'exciter ...parfois.
Par Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Jeudi 13 novembre 4 13 /11 /Nov 10:03
Nous nous installons dans de saines et agréables habitudes...

Tous les matins, avant qu'Elle ne m'ordonne d'aller préparer le petit déjeuner, Marie m'invite à la réveiller en douceur par de tendres baisers qui partent de Sa nuque et descendent le long de son dos, pour que ma langue vienne se faufiler ensuite entre Ses fesses. Je commence ainsi ma journée en honorant le cul de ma Maîtresse par ma tendresse... Certains matins, portée par mes baisers et par Ses envies, Marie relève Sa croupe et offre Son sexe à ma bouche. Après qu'Elle ait pris Son plaisir, je viens me blottir entre Ses bras. Un moment de bonheur.
Ce matin, Marie m'a expliqué pourquoi Elle préférait que je garde la cage de chasteté la nuit : si je ne porte pas la cage, Elle sent mon sexe dur entre Ses cuisses qui bien souvent, quand j'embrasse Sa nuque, vient se coller à l'entrée de Son sexe... La tentation est grande pour moi d'essayer de venir en Elle, tout autant qu'elle est grande pour Marie de me laisser venir. Elle adore que je la réveille en lui faisant l'amour... Avec la cage, Marie est assurée que je ne frapperai pas à la porte de Son sexe et que, par conséquent, Elle ne sera pas confrontée à un choix cornélien. Quand Elle veut vraiment jouer avec mon sexe, Elle ouvre la cage. Cela met une certaine distance qui permet à ma Maîtresse de décider de tout et surtout de Ses plaisirs ! Un moyen de contrôle de mes désirs et des Siens.

Depuis quelques semaines, je n'ai plus jouit librement, ni pu me donner de plaisirs solitaires. Marie contrôle tout. Elle m'a parfois autorisé à éjaculer, en Elle ou sur Son corps, mais toujours de façon très rapide, alors que j'étais très excité et frustré depuis plusieurs jours... Souvent, ce sont quelques gouttes de sperme qui échappent à ma tentative de retenue. Elles s'écoulent sans jouissance. Parfois, je jouis un peu, mais je suis bien loin de l'orgasme.
J'aime à penser que la retenue de mes propres orgasmes se transforme en des orgasmes plus forts pour ma Maîtresse. Mais ce ne sont que des prétentions de soumis... Je me dis cela pour m'exciter dans mon coin, le sexe gonflé contre les parois de la cage, le soir en m'endormant. Je ne sais pas si ma frustration augmente Son plaisir ou si Elle lui est indifférente. Seul dans ma cage, je tournerai cette question pendant des jours, sans jouir ni avoir de réponse. Et Marie de savoir que jour et nuit, je pense à Elle, immergé dans le désir sans répit de Son corps.

Cette semaine, Marie m'a autorisé deux éjaculations. Une fois en Elle, une fois sur son ventre. Je devais être très excité, car la quantité de sperme était impressionnante. Je suis d'autant mieux placé pour le savoir que Marie m'a ordonné de lécher tout mon sperme, tant dans Son sexe que sur Son ventre.  J'en ai vraiment avalé beaucoup, laissant un goût âcre dans ma gorge qui venait se mêler au parfum du sexe et du cul de mon Amoureuse qui innondait mon visage. Serait-ce une nouvelle règle qu'Elle voudrait instaurer : me faire reprendre tout mon sperme dans ma bouche après chaque éjaculation ? Je ne le sais pas, mais je ne tarderai pas à le savoir. Quoique Marie n'aime pas s'imposer un cadre rigide avec des règles contraignantes. Elle vit dans l'instant. Ce qui me laisse de l'espoir et de l'incertitude. Bref, une certaine instabilité constante qui me met à sa merci, car je ne sais jamais d'avance sur quel pied danser. Je me dois de demeurer disponible à tout instant, sans pour autant pouvoir suciter de rencontres sexuelles trop directement. Mes initiatives sont dépendantes de Ses désirs. Je suis en état d'amour permament, de désir constant et je le garde pour moi. Marie sait que je suis ainsi, Elle prend ce qu'Elle veut, quand Elle veut, comme Elle veut.

Une chose me travaille néanmoins. Marie a renoncé à cacher la clé de la cage (tout autant qu'Elle ne vérifie jamais que la clé de sécurité est bien dans son enveloppe toujours cachetée). Je sais où elle se trouve. Je pourrais à tout moment m'en emparer pour me soulager. Elle sait bien que je ne le ferai pas, puisque quand Elle m'ordonne de ne pas me caresser pendant plusieurs jours alors que je n'ai pas la cage, je lui obéis. Mais dans ce contexte, avec la clé si accessible, pourquoi porter cette cage contraignante ? J'ai essayé d'en parler avec Marie, mais je n'ai pas eu de réponse.
Privilège de Maîtresse que de choisir de répondre ou pas à mes questions et surtout de ne pas se laisser influencer par les questions suggestives de Son soumis. Bien sûr, une part de moi préfèrerait qu'Elle cache cette clé. Je vois une sorte de désinvolture que de la laisser à ma portée. Mais Marie est claire, Elle ne se laissera pas influencer par mes attentes. Désinvolte ou pas avec cette clé, Elle ne cèdera pas mes suggestions, uniquement à Ses envies du moment. Si Elle n'a pas envie de s'embêter à cacher la clé, Elle ne le fera pas. À moi d'accepter Sa façon de voir, un point c'est tout, même si ça ne correspond aux codes et coutûmes du BDSM. Ces codes et coutûmes, c'est mon problème, pas celui de Marie. Elle n'a aucune envie d'être contrainte à les suivre au delà de Ses désirs.
Je m'y soumets, même quand je suis nez à nez avec cette clé, posée sur l'étagère de notre chambre. Parfois la clé me regarde dans les yeux et me dit : "Qu'est ce que tu fous dans cette cage ? Viens, prends moi et ouvre ! Ou bien dis à Marie de me cacher ! Parce que là, je me demande ce que je fais comme une idiote sur l'étagère à ta portée." Et je réponds à la clé : "C'est le désir de Marie qu'il en soit ainsi. Je la suivrai dans tout ce qu'Elle voudra et laisse moi tranquille à présent. J'ai du travail... Et je dois encore trouver un couple ou une femme dominante pour prolonger la domination de Marie sur ma personne." Voilà tout.

Marie, je t'aime.
Par Marie et Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 17:30
Marie a trouvé son nouveau réveil matin : ma langue entre ses fesses !
Le soir, avant de s'endormir, Elle me donne l'ordre suivant : "Demain matin, quand tu te réveilles, tu viens couvrir mes fesses de baisers !" Et voilà comment je la réveille, en douceur, par des baisers profonds et de longs coups de langue, tous les matins. Et quand Elle est enfin éveillée, Elle m'ordonne d'aller préparer le petit déjeuner.

Aujourd'hui, Elle m'a également donné l'ordre de raconter sur ce blog tout ce que nous vivons, ma soumisson, Sa Domination et ce qu'Elle me fait subir. Alors je m'exécute...

Cet après-midi, alors que je travaillais, Elle m'a demandé de venir la retrouver dans notre chambre, de me mettre nu. Elle a ouvert la cage, que je porte depuis 4 jours, en me disant : "J'ai envie de baiser !"... Difficile de baiser sans jouir trop rapidement après 4 jours de cage et plein de moments très excitants, à commencer par les réveils... Marie a dû m'entendre penser ceci, puisqu'Elle a ajouté : "On verra, si tu jouis trop vite, tu viendras lécher ton sperme."

Je me suis approché de Marie, confiant. Je l'ai embrassée, tout en tendresse. Puis, nous avons discuté et malgré moi j'ai avoué une faute que j'avais commise la veille. Elle m'a repoussé et ordonné d'aller chercher les pinces et la cravache.

Les pinces posées sur les seins, je lui ai présenté mes fesses. Après quelques caresses de la cravache, j'ai reçu ma punition : 30 coups.
Puis Elle m'a demandé d'aller chercher un rasoir et m'a rasé le torse. Une marque sur mon corps que je ne suis pas prêt d'oublier... Du moins, le temps que ça repousse.
Ensuite, Elle m'a ordonné de la lécher, tout en me cravachant pour que je m'applique. Sous le mordant de la cravache, ma langue caressait son sexe avec frénésie, ma bouche buvait toute son humidité. Elle était très excitée. Elle m'a fait venir en Elle...

Nous avons fait l'amour. Marie était douce, sensuelle, très sexuelle... J'étais en Elle très profondément. Je sentais son plaisir... C'était si bon... J'avais ordre de pas jouir... Cette idée m'a excité. Trop excité. J'en ai averti Marie qui m'a fait sortir d'Elle. Je n'ai pas jouit, mais deux petites gouttes de sperme se sont écoulées. Marie était très mécontente. Elle m'a ordonné de lui présenter mes fesses à nouveau. J'ai reçu 30 coups.

Alors, Elle m'a ordonné de remettre la cage, puisque pour Elle j'avais jouit, mon sexe ne pouvait plus lui servir à grand chose. En réalité, je n'avais pas jouit et je n'avais qu'une attente, brûlante : revenir en Marie. Mais non !
De nouveau encagé, Elle m'a présenté son sexe que j'ai léché longuement sous Ses coups de cravache.

Elle a jouit et s'endormie contre moi, alors que je bandais dur dans la cage et que mes fesses étaient bien chaudes.

Merci mon Amour.
Par Marie et Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Mercredi 15 octobre 3 15 /10 /Oct 18:36
Dimanche, Marie a décidé de renouer avec la domination.
Il est vrai que quelque jours auparavant je lui avais très longuement fait l'amour à plusieurs reprises, sans jamais jouir et que cela lui a plu. La récompense n'a pas tardé...

Dimanche, Elle s'est enfourché sur mon sexe et m'a longuement excité en me pinçant les seins... J'étais au bord de jouir. Elle s'est retirée pour s'asseoir sur ma bouche. Elle a jouit ainsi et m'a laissé frustré, m'imposant de mettre la cage, avec les piquants, en prime.

Depuis, Elle joue à me la faire remettre et enlever selon les désirs qu'Elle a d'utiliser ou pas mon sexe... Parfois pour le seul plaisir de le sentir en érection contre Elle, la nuit en dormant. D'autrefois je dors encagé. Je lui ai donné de nombreux orgasmes, mais je n'en ai eu aucun pour ma part.

Le martinet, les pinces et la cravache sont également de retour. Mon cul a déjà été rougi à deux reprises, car je ne la léchais pas exactement comme Elle l'exigeait... J'ai beaucoup aimé me faire diriger de la sorte et lui rendre par la douceur de ma langue, la vigueur de ses coups de cravache.

Aujourd'hui, estimant que je n'étais pas assez appliqué, Elle m'a cravaché puis refusé l'honneur de la lécher. J'ai dû lui donner son gode et me détourner d'Elle, yeux baissés, ne voyant que le mouvement de ses jambes, la cravache en bouche, pendant qu'Elle se laissait aller doucement à un profond plaisiir, contemplant mon cul rougit. Cela a éveillé de nombreux fantasmes en moi, qu'Elle m'a ordonné de lui raconté par ce blog... DONC :


Dans mes fantasmes, j'étais dans la même position, le cul rougi, la cravache en bouche, à genoux, lui tournant le dos, ne devinant que le mouvement de ses jambes près de moi. Elle faisait l'amour avec un homme. Elle lui faisait l'amour avec passion et intensité... Elle disait, à mon intention, ce qu'Elle lui faisait et que je ne voyais pas. "Oh j'aime tes baisers, embrasse moi encore... Partout, oui, c'est si bon.. Laisses moi te caresser le torse... J'adore toucher ton sexe... Oh oui, il est si doux... Je peux prendre ton sexe dans ma bouche ? Je voudrais lui donner de long coups de langue comme on le fait avec un miko... Puis couvrir tes couilles de baisers tendres et remonter le long de ton gland pour prendre ta queue entièrement dans ma bouche.... Ce doit être bon, le plaisir que je te donne. Oh oui, c'est bon. Tu aimes ce que je te fais ? Viens maintenant... Viens en moi, baises moi... Oh oui, c'est bon... T'es tout au fond... Bourres-moi... Embrasses moi encore... Oui...."
Voilà le dialogue que j'imaginais de Marie avec un amant, en ma présence...

Ensuite, je l'ai imaginé faire la même chose avec une femme... Puis mon esprit oscillait entre un homme et une femme qui faisaient l'amour à Marie... Puis les deux...
Puis Marie a jouit et ma rêverie a cessé.

Je me suis retourné sur son ordre et lui ai rendu la cravache qu'Elle m'a demandé de ranger. Puis je suis allé nettoyer le gode, avant de revenir me blottir contre Elle et couvrir son dos de mes baisers tendres...

Je ne sais pas quels étaient ses fantasmes à Elle, pendant qu'Elle se masturbait.
Par Marie et Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Mercredi 5 mars 3 05 /03 /Mars 02:00
Marie mon Amour...

Une petit insomnie nocturne. Tu dors à mes côtés...
Mon sexe implore caresses en se frottant contre les parois de la cage. Il bande autant que la confortable CB6000 le lui autorise. Mes pensées se perdent dans les plaisirs de Ton corps sublime, couché contre moi, que je rêve d'embrasser...
Cherchant le sommeil, je m'assoupis parfois en me laissant porter par mes fantasmes. Je me vois à Ton service alors que tu reçois une autre femme dans ton lit, pour des ébats très intenses dont je suis exclus (sauf pour Vous servir). Plus tard Tu es avec un homme, et moi toujours serviteur, une langue pour Ton sexe... Autant de choses assez lointaines, dont je ne sais si nous les vivrons un jour... Est-ce souhaitable, au demeurant ?
Retour à la réalité. Mon excitation reprend en songeant que ce soir, Tu t'es couchée, m'offrant Ton dos. Sans même le formuler, Tu m'as ordonné de Te masser. Tout simplement, comme cela, en T'allongeant sur le ventre, juste à côté de moi. Tu me l'as ordonné sans un mot ni un claquement de doigts. Convaincue de Ton pouvoir... Et je T'ai massée  dans le plaisir de ce pouvoir souverain qui s'exerçait sans faiblir. Tu étais la Reine, moi l'esclave qui se fondait dont sa position auprès de sa Maîtresse. Un doux moment. Je crois que le SM ne m'a pas quitté. Le port de la cage n'aura pas dépassé 24h00 avant de donner la réponse à la question de mes désirs SM...

Après ce massage, je me suis endormi contre Ton corps adoré. Puis je me suis réveillé. Excité par mes songes érotiques... De nouveau, Tu prenais du plaisir avec d'autres personnes et T'excitais de m'exhiber à ces personnes... Je n'avais de cesse que d'être une langue pour Vos sexe...
Retour à plus de réalisme. Mais mes pensées divaguent et me portent vers des désirs de punition. Une vraie punition, sévère, forte, mémorable, marquante et décidée par Toi, telle un plaisir et une nécessité à la fois. Un nombre conséquent de coups de cravaches, administrés lentement et méthodiquement. Scrupuleusement. Je compte et je remercie. Des coups qui montent en puissance et me poussent dans mes retranchements. Des coups dans lesquels Ton plaisir se découvre graduellement.
Mon corps marqué de rouge, profondément, s'abandonne à la sanction. Mes cris offerts, Ton sourire en échange. La Maîtresse et l'esclave, avec un petit côté "pour de vrai" qui vient intensifier le jeu ! Un souvenir qui imprime nos mémoires, marquant désormais un nouveau lien qui nous  unit, tel un tatouage. Un jour tu m'as puni. Tu peux me punir.
Je me réveille. Mon sexe continue de réclamer ses caresses contre les parois de la cage. Tu dors à mes côtés. je n'ose m'approcher davantage de Ton corps tant désiré, par peur de Te réveiller.
À présent, je rêve éveillé. La punition. Administrée devant notre lit. Sur Ta décision. Je reçois les coups de cravache, bras et jambes écartées, face au mur. Obligé de reprendre position si la douleur me fait tressauter... Ou bien bien les bras tendus et attachés au plafond. Debout sur la pointe de pieds. Avec un baillon, m'interdisant de supplier clémence ou de dire "stop"... Sans filet.
Une fois la sanction administrée, je m'agenouille pour Te remercier. Je couvre Ton ventre, Ton sexe et Tes fesses de très doux baisers. Fière, dominante et souveraine, décidée à jouir de ce que peut T'apporter Ta domination, Tu m'invites à Te suivre dans le lit, pour Te masser. Avec la même autorité évidente que Tu l'as fait ce soir Tu m'offres Ton dos. Mon corps demeure brûlant de la cravache...
Je me perds dans le massage et la douleur devient douceur, me consacrant à adorer Ton corps qui peut être  s'adonnera
demain à d'intenses plaisirs avec une femme ou un homme que tu auras choisis, auxquels tu te donneras... Et moi qui Te masserai. Je préparerai le corps de ma Maîtresse pour tant de magnifiques plaisirs qu'Elle partagera avec d'autres. Mon sexe encagé, privé de toute jouissance. Vivre un temps dans Ton seul plaisir. Je pense à cela en te massant. Je pensais à cela en te massant tout à l'heure.
Et là tu dors à mes côtés. J'aimerais être puni, longuement fouetté et remercier ensuite ma Maîtresse.
Par Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 14:58
Après un si long silence, me voilà de retour à la demande de Marie...

Notre bébé, la vie, les soucis, etc... Bref, notre vie SM était suspendue (et notre libido aussi, parfois). Le temps de se retrouver... De retrouver notre relation. Une vie de couple qui continue de se chercher, avec des difficultés que nous apprenons à dépasser ensemble. Mais ce qui demeure constant, dans toutes ces variations, c'est l'amour que nous nous portons. Un amour pour Marie qui ne m'a jamais quitté, même durant nos pires disputes. L'amour, tout simplement.

D'ailleurs, parlant d'amour, ce matin, nous avons fait l'amour deux fois de suite. Ce qui n'était pas arrivé depuis quelques temps.
Pour ma part, j'avais un peu renoncé au SM, tant Marie souhaitait une sexualité plus virile. Se faire baiser, défoncer et encore bourrer. À fond et profond, tel était Son désir. J'aime beaucoup cela, mais c'est peu compatible avec la soumission... Même si je ne bourre qu'à la demande exprès de Marie...

Ce matin, après L'avoir baisée par deux fois et bien à fond, Marie m'a demandé de renouer avec la cage. Voilà un certain temps qu'on l'avait oubliée celle-là et sincèrement, je pensais que je ne la remettrais jamais plus : "Je voudrais que tu mettes la cage après qu'on ait baisé. Tu pars quand ? Ce soir ? Très bien, comme ça tu penseras plus à Moi...
— Vraiment ?
— Oui, Je le veux. Surtout que tu vas être souvent absent ce mois-ci, n'est-ce pas ? Comme ça Je pourrai mieux contrôler. Je te libèrerai quand Je voudrai disposer de ta queue. Sinon, tu resteras en cage. Et Je veux un article sur le blog dès aujourd'hui.
— Bien mon Amour. Je n'ai pas voix au chapître, c'est Toi qui décide de toutes façons.
— Oui.
— Quelle cage : la CB3OOO ? Avec ou sans piquants ? Ou bien la CB6000 ?
— Tu mettras la CB6000, comme ça on jouera avec la nouvelle. Allez, Je vais être sympa. Tu ne la mettras qu'au moment de partir cet après midi, comme ça tu peux encore rester un peu libre.
— Merci mon Amour."

Et me voilà à nouveau dans le quotidien d'un encagé. Je remercie Marie de m'imposer la CB6000 plutôt que la 3000, car elle est beaucoup plus confortable et ne peut pas prendre de piquants. Que ma Maîtresse est généreuse... sourire.

J'écris ces quelques mots, alors que je m'apprête à enfiler la cage. En 5 mois, j'ai un peu oublié ce que c'est et j'ai pris l'habitude de me toucher à volonté. J'appréhende ce retour en cage, dont je ne suis pas certain que je le désirais vraiment.
Ces temps-ci, je doutais un peu de mes désirs de soumission. Marie l'a bien compris, en précisant : "Puisque que tu te demandes si tu te sens toujours soumis, au moins, avec la cage on sera vite fixés. Déjà qu'on a renoué avec les massages ce week-end, à présent essayons la cage, Ma petite salope ! Hein, tu seras Ma salope quand Je le souhaiterais !"

On sera sans doute rapidement fixés sur mes désirs de soumission, car je me sens d'ores et déjà très excité. Comment résister à Marie quand Elle m'appelle Sa petite salope, qu'Elle m'ordonne de La masser longuement et m'impose le port de la cage. Je pensais ces désirs dépassés, mais l'érection de ma queue me trahissent totalement.

Dès demain matin, je recommencerai à photographier mon sexe en cage pour envoyer la preuve de ma docilité à Marie. Tous les jours une autre photo lorsque je suis absent, ce qui demande une certaine imagination pour ne pas être répétitif... (d'ailleurs, il y en a quelques unes de jolies que je pourrais afficher ici, ainsi que quelques jolies photos du corps sublime de Marie).

J'écris ces quelques lignes, mes dernières en liberté, d'une seule main, car je profite une ultime fois de pouvoir me de toucher, sans savoir quand je pourrai à nouveau me caresser librement... J'appréhende et ça m'excite.

Oh Marie mon Amour, je m'abandonne bien volontiers à Tes désirs et Tes plaisirs. Tout à toi.
Par Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 22:03
Nous nous sommes finalement retrouvés jeudi soir, très tard, après cette longue séparation. Quel bonheur que de dormir à nouveau l'un contre l'autre et de laisser nos peaux se retrouver.

Le matin, après le petit déjeuner, j'étais épuisé, je me suis couché. Marie est venue me rejoindre, s'inquiétant de l'état de son jouet dans la cage... Elle a commencé à me caresser le sexe et les seins : "Alors, ces piquants, ça fait mal ?" L'effet a été immédiat : une tentative d'érection aussi intense que douloureuse. J'ai gémi. Marie a aimé. Ses yeux étaient remplis de perversité, ça m'excitait...
Puis Elle est venue sur moi, collant son sexe contre la cage. Pressant lourdement avec son sexe sur les piquants. Une douleur intense, très intense, est partie de mon sexe, traversant tout mon corps. Mais je ne pouvais pas gémir fort, car il y avait du monde dans la pièce d'à côté. La situation a excité Marie, qui s'est branlée longuement, lourdement, jusqu'à l'orgasme en frottant Son sexe contre la cage. La souffrance dans mes yeux semblait l'exciter. Elle me répétait sans cesse : "Alors, tu aimes ça Ma salope ? Tu aimes quand J'appuie sur les piquants ? Et comme ça ? Oh oui, tu aimes... Tu es une petite salope..." Fou d'excitation par ce qu'Elle faisait et disait, je subissais la pression de Son sexe sur les piquants qui défonçaient le mien. J'aurais préféré le fouet ! Son plaisir était rempli de perversité, ce qui augmentait mon excitation. Oui, je me suis senti salope !
Après avoir jouit, Elle s'est allongée à mes côtés et demandé que j'embrasse Ses seins. En croisant Ses jambes, Elle a jouit une seconde fois, alors que mon sexe etait éreinté par la souffrance de mon érection.
Puis nous nous sommes douchés. Elle a ouvert la cage, que je portais depuis pas mal de jours, pour s'assurer que tout allait bien. Il y avait des petites blessures et des plaies superficielles. Marie a décidé de laisser mon sexe libre pour qu'il cicatrise, sans aucune permission de le toucher.

Le lendemain matin à mon réveil, je suis allé embrasser et lécher le sexe de Marie. Mais Elle avait du mal à jouir. Elle m'a ordonné de garder ma tête immobile, ma langue sortie. Elle s'est branlée Elle-même en frottant Sa chatte contre ma langue, sans que je ne puisse faire le moindre mouvement.
Ensuite, Elle m'a demandé de lui rappeller depuis combien de temps je n'avais pas éjaculé. 3 semaines. Elle m'a ordonné de me branler et de jouir en moins de 30 secondes. Ce que j'ai fait. Sans jouissance, sans plaisir. Il y a eu beaucoup de sperme. Marie m'a dit : "Voilà, tu peux remercier ta Maîtresse. Comme ça on est tranquilles pour quelques semaines. Dès que t'as cicatrisé, tu retournes dans la cage !"

Je n'ai toujours pas totalement cicatrisé. Donc je suis libre et je bande tout le temps. Ce soir, j'ai demandé à Marie de L'embrasser, de La lécher, de Lui faire l'amour. Sa réponse fût : "Tu n'as rien à demander. De toutes façons tu vas retourner très vite dans la cage. Il faudrait que tu n'oublies pas qui est la Maîtresse et qui est Son esclave."
Je me soumets...

Marie se prend de plus en plus au jeu de la Maîtresse et de l'esclave. Elle intensifie Son dressage. Ce n'est pas le dressage que je fantasmais, mais celui qu'Elle a envie d'accomplir sur ma personne. Je me soumets. Je plie. Je m'installe toujours plus dans la frustration et le désir permanent.

Elle est la Maîtresse, je suis l'esclave. Et j'avoue que ça m'excite franchement. Que j'y prends beaucoup de plaisir. Que cela me fait découvrir des idées, des sensations et des plaisirs inconnus. Une vraie petite salope.
Quand à Marie, Elle apprécie d'être désirée en permanence et d'en disposer à Sa guise. Elle prend de plus en plus souvent l'habitude de me donner des ordres dans la vie quotidienne et parfois, à demi mots, devant témoins. Un code entre la Maîtresse et l'esclave... J'accepte de mieux en mieux de refouler mes désirs, pour n'être plus que Ses désirs. C'est plus dur que la cravache, car ça touche l'esprit et pas le corps. Nous vivons une expérience magnifique, mon Amour.

Tu es la Maîtresse, je suis Ton esclave. J'adore quand tu prends la salope qui est en moi. Je t'aime.
Par Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Samedi 6 octobre 6 06 /10 /Oct 10:30
La nuit, je ne suis pas seulement soumis...

Souvent, je rêve aussi que Marie caresse longuement ma queue, avec douceur et plaisir, dans toute sa longueur, pour mon plaisir... Puis elle me suce... Le plaisir monte, je suis au bord de jouir, le gland en feu.
Elle se retire, puis m'offre son sexe. Je la baise et me branle en elle, avant de la retourner, de la sodomiser... Mon sexe, dans toute sa longueur va et vient en elle, se caresse en elle. Je lui claque les fesse pour la faire gémir... Je la baise comme une chienne.

De telles pensées déclenchent de vives douleurs dans la cage...

Puis je me calme... Et je fantasme sur Marie qui fait cela avec un autre homme. Devant moi, attaché et encagé. Je la lèche et la masse ensuite. Puis son amant me baise. Il me baise comme une chienne, sous le sourire excité de Marie.

Douleurs et punition encore plus intenses dans la cage.

Mais Marie est très soucieuse de l'intégrité de l'image masculine et virile qu'Elle a de moi. Moi aussi d'ailleurs. Aussi bien si un homme me baise que s'il baise avec Elle.

Bon, je me calme. Je crois que le port de la cage et la distance avec Marie me font un effet boeuf ! Risque de surchauffe...

Me soumettre à Marie, c'est savoir aussi calmer le jeu, quand je sens qu'Elle le souhaite sans pour autant qu'Elle l'exprime. Tout en demeurant disponible à tout et à tout moment. Tout en cherchant à aiguiser Son désir de dominer. Mais en essayant néanmoins de calmer le jeu.

L'esclave est piégé. Dans une situation impssible à résoudre. Pourtant, est il puni de cela ?
Par Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Mercredi 3 octobre 3 03 /10 /Oct 19:05
Placé dans l’obligation de réprimer mes excitations dans la cage, je ne peux plus jouer avec des images érotiques.
Avec les points d’intrigue n°1 je pouvais encore jouer un peu à bander dans la cage, en invoquant mes fantasmes. J’avais mal, j’en étais puni, mais c’était supportable. À présent, avec les points d’intrigue n°2, toute ébauche d’érection déclenche une douleur violente, que je ne peux tolérer durablement. Si je me laisse aller à fantasmer, je m’expose à une sanction assez radicale, qui met un certain temps à s’estomper. Il est parfois long de débander, même sous la morsure des piquants. Plus moyen de s’en sortir, à partir du moment où on se laisse mordre.
Donc, je suis contraint de renoncer à mes fantasmes. Ceci m’expose au sentiment de vide, celui qui fait si peur. Mais là, c’est un jeu… Je peux le dépasser par une sorte de sublimation, toute tournée vers la volonté de Marie. Vers Sa personne.
Me voilà contraint de me détourner de mes fantasmes, si je ne veux pas souffrir des piquants. Me voilà contraint de me fondre dans le rythme et les seuls fantasmes de Marie, si je veux sublimer…
Je commence à comprendre pourquoi Elle apprécie de plus en plus ce jeu. Elle m’impose une domination sincère et exigeante, dès lors que j’accepte Ses seuls désirs au point de renoncer totalement aux miens. Mon désir se confond à celui de ma Maîtresse. Marie est mon seul désir.
C’est une expérience amoureuse qui déclenche beaucoup d’émotions, ce qui finit par remplir le vide. Ça nourrit ma découverte de l’amour, ainsi que des rapports entre les femmes et les hommes. J’ai beaucoup de plaisir à partager cela avec Marie. Une nouvelle fois, depuis bientôt 9 ans que nous formons un couple, je découvre la force et la puissance de Son authenticité. C’est le socle de l’Amour. Il faut être fou pour ne pas s’y soumettre entièrement. L’authenticité désarmante de Marie a toujours été Sa force la plus puissante. De celle qui donne du bonheur à ceux qui l’aiment.
Et pour finir, je tiens à le dire haut et fort : CETTE DOMINATION SELON MARIE, C’EST SUPER EXCITANT !!!
Oh, Marie mon Amour…
Par Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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Mardi 2 octobre 2 02 /10 /Oct 22:42
Je viens de passer trois jours de repos avec Marie, au milieu de cette longue séparation de plus de deux semaines. Avant tout, j’ai retrouvé, pour mon plus grand bonheur, la femme que j’aime et notre enfant. Après tout, je viens de quitter, pour ma plus grande tristesse, la femme que j’aime et notre enfant…

À l’issue de notre première nuit l’un contre l’autre, au vu de mes souffrances, Marie a accepté d’ouvrir la cage, pour retirer l’anneau de taille n°2 (puisque le n°3 était cassé), afin de soulager mes testicules qui commençaient à s’amocher… J’eus espéré (mais l’eus-je vraiment espéré pour être honnête ?), que cette ouverture fût mise à profit pour soulager le trop plein de mes couilles et la frustration en queue de ma Maîtresse. Mais ce ne fût pas le cas.
Au matin, durant sa douche, Marie m’a fait mettre à genoux devant Elle (sur un ton autoritaire qui m’a terriblement excité), puis une fois lavée, Elle m’a donné son sexe à honorer avec ma bouche. Je me suis lavé à mon tour avec l’interdiction trop « frotter » mon sexe. Elle surveillait. Une fois séché, Marie m’a donné l’ordre de retourner immédiatement dans la cage. À défaut d’anneau n°3 et vu les risques inhérents au n°2, Marie m’a demandé de mettre le n°4, plus large… Mais c’est sur les points d’intrigue qu’Elle s’est vengée. Elle a exigé que je passe au n°2, que nous n’avons jamais essayé, qui est franchement plus mordant sur le sexe… Et comme je bandais, j’ai eu de la peine à le mettre. La cage s’est fermée dans de grandes souffrances qui ont amusé Marie, sous le cadenas n°221267. La liberté fût très courte.



Tout reconnaissant à ma Maîtresse, mais sans vraiment savoir ce qui m’attendait avec le point d’intrigue n°2, j’ai été très tendre avec Marie durant toute la journée. La nuit suivante a été difficile. Avant de s’endormir, Marie est venue frotter sa chatte contre mes cuisses en disant « C’est Ma chatte qui te fait envie ? ». Je sentais Son humidité se rependre sur mes jambes et Ses baisers amoureux envahir ma bouche. Erection immédiate, sanction brutale. Les points d’intrigue n°2 n’autorisent absolument aucune érection, sous peine d’une douleur très virulente sur la verge. Et pour que je le comprenne bien, Marie s’est amusée à pincer mes seins. Mon excitation achevant de susciter une sanction sévère.

Mis dans obligation de devoir maîtriser mon excitation, j’arpente de nouvelles voies, assez complexes, vers la réalisation d’un jeu d’esclavage que je souhaite partager avec Marie. Chaque instinct d’érection se doit à présent d’être contrôlé et réprimé par mon esprit, sous peine de douleurs encore plus sévères. Et je soupçonne Marie d’y prendre goût de plus en plus, c’est d’ailleurs ce qu’Elle m’a dit durant la douche : « Tu es en train de réussir à Me faire vraiment aimer te dominer ».

Le lendemain, je lui ai donné du plaisir avec ma bouche, dans des gémissements de souffrance liés au plaisir que je prenais à le faire, sanctionné sans répit par les points d’intrigue. Le plastique est bien plus cruel que la main de la Domina, car inflexible et sans état d’âme.

Marie a de nouveau fait allusion à ce couple auquel Elle souhaite me livrer dès que possible, pendant 24 heures, pour un dressage domestique et sexuel en bonne et due forme ! Quelque chose de relativement sévère et intense… Je lui ai dit que je préfèrerais que ce soit Elle qui me dresse. Elle m’a répondu que ce n’était pas moi qui décidais, que telle était Sa décision : « J’ai envie de commencer par te faire dresser par d’autres, histoire de rentrer dans l’ambiance et de voir comment ça marche ! C’est comme cela que ça se passera. Tu me raconteras tout, ou tu le raconteras sur le blog… Je leur demanderai de prendre des photos. On verra ensuite comment continuer… »

Le soir, Marie a proposé d’ouvrir la cage avant que je ne reparte, pour s’assurer que les points d’intrigue n’2 n’infligeaient pas de blessures trop violentes à mon sexe (car nous allons demeurer 10 jours sans se voir). Mais au matin, Elle ne l’a plus proposé. Pendant plus d’une heure, alors qu’Elle lisait, j’ai léché son dos, son ventre, ses pieds, son cul et son sexe, ce qui s’est terminé par un bel orgasme pour Elle et de terribles tourments pour mon sexe, qui trahissait tout le plaisir que je prenais à l’embrasser, à la vénérer : « Voilà ce qui t’attend, si tu prends du plaisir quand je te livrerai à ce couple ! Et j'espère que t'y prendras beaucoup de plaisir...» m’a t’elle dit. Je redoute les points d'intrigue de taille 3 !



Puis un peu plus tard dans la journée, je suis parti prendre mon avion. Nous serons séparés pendant 7 à 10 jours. Autant de nuits que je passerai seul à l’hôtel, cherchant à réprimer mes érections, réfléchissant à ma soumission, cherchant à comprendre le sens de la Domination selon ma Maîtresse. Entièrement consacré à Marie.
Me préparant à passer un jour aux d'intrigue n°3... car je sais bien que ça finira par arriver, lorsque Ma Maîtresse le jugera opportun.
Par Nico - Publié dans : Journal d'un soumis
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