Mercredi 28 mars
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07:44
Marie a laissé mon sexe libre toute la semaine …pour mieux s’en servir. De lundi à jeudi, Elle m’a pris en Elle tous les matins au réveil. Et si je jouissais trop vite, Elle se terminait au god.
Ensuite, nous avons été très pris, car nous avons déménagé… J’aurais pensé que l’installation dans notre nouvelle maison aurait pu prendre la forme de jeux SM… Un meuble mal accroché, 50 coups de cravache…
Mais en réalité, l’humeur n’y était pas. Ni pour l’un, ni pour l’autre. Sachant que je devais partir dimanche pour une semaine, j’étais pressé d’installer une maison « vivable » avant mon départ. Nous étions très concentrés sur ce projet, ce qui ne laissait pas de place aux jeux SM et au sexe en général… sourire, quoique... On en a beaucoup parlé néanmoins. Tout en bricolant, nous avons poursuivi la recherche des dominants auxquels Elle me confierait.
J’ai beaucoup aimé ce moment amoureux d’installation dans notre maison. C’est notre amour que nous vivions, tout simplement. Et pour moi, c’est beaucoup plus important que les plaisirs SM. Je me suis senti heureux dans notre projet de vie. J’ai aimé installer notre vie qui changeait sous nos yeux… Nous détestons les déménagements l’un et l’autre, et pourtant c’est un moment que j’ai adoré. Il y a tant de choses que j’aime faire avec Marie.
Mon seul regret par rapport au SM, concerne l’état de Marie. Elle en a trop fait. Ce n’est pas l’idéal pour le bébé. Cela aurait vraiment été bien qu’Elle soit un peu plus princesse ; qu’Elle en fasse un peu moins et qu’Elle m’en demande davantage. Elle se serait mieux reposée. Mais Marie voulait absolument en faire sa part.
Dimanche, nous avons soufflé un peu. Elle m’a demandé de lui donner du plaisir, puis autorisé à me masturber en m’ordonnant de jouir sur ses fesses. J’ai dû ensuite lécher entièrement mon sperme qui coulait sur ses fesses et son sexe. Puis Elle s’est donnée du plaisir à nouveau. Nous nous sommes endormis quelques instants. Je pensais que nous ferions l’amour ensuite, mais à mon réveil, Elle m’a ordonné d’aller chercher la cage. Je me suis retrouvé rapidement enfermé sous le n° 219010 avec le point d’intrigue n°1, mais fixé à la garde du sexe, ce qui est plus sévère.
Je suis parti lundi matin. En une semaine de liberté, j’avais pris l’habitude de bander à volonté. Mais avec le retour de la cage, la sanction a été très sévère et immédiate. Pour peu, j’en aurais oublié que mon sexe appartenait entièrement à Marie et que mes plaisirs ne pouvaient être que Ses plaisirs. Je suis recadré dans mon désir de soumission.
J’ai beaucoup aimé que Marie m’impose la cage alors que je ne m’y attendais pas et que je n’en avais aucunement exprimé l’envie.
Cette prise de pouvoir autoritaire de sa part m’excite terriblement, je l’avoue. Je ne sais combien de temps durera 219010 ni ce qu’Elle en fera après mon retour à la maison, mais je suis fier de porter ce n° pour Elle et comblé dans mon désir de soumission lorsque les piquants me mordent… Ils me rappellent le sourire et la douceur de la peau de Marie. C’est du bonheur.
Par Marie et Simon
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Mardi 20 mars
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10:04
Lundi matin au réveil, Marie a déchiré le cadenas 219092... Elle s'est ensuite retournée dos à moi, puis Elle a saisi mon sexe dur et l'a pris en Elle. Après 3 semaines sans éjaculation, et plus de 2 semaines sans ouvrir la cage, j'ai joui vite, trop vite.
Marie m'a ensuite repoussé et s'est mise sur le dos. Elle s'est fait jouir, tandis que je la couvrais de baisers.
Depuis, Elle ne m'a pas remis la cage, car mon sexe a des petites blessures dues aux points d'intrigue. Mais je n'ai pas le droit de me toucher.
Mon sexe lui est plus facilement accessible. Elle joue avec mon excitation et mon désir, me prend parfois en Elle quand l'envie lui prend. L'objet de soumission que je suis est aussi en ce moment un objet sexuel. Je lui donne également du plaisir par tous les moyens qu'Elle désire... Je lui masse les jambes tous les soirs... Notre amour coule des jours heureux, très heureux. Son sourire toujours aussi magnifique. Et son ventre s'arrondit "en riant aux éclats" !
Nos recherches pour me prêter à des personnes qui me domineraient n'ont pas encore abouti. Ça prend du temps, pour trouver. On s'oriente vers un couple bissexuel, si possible parisien, et dont au moins l'un des deux serait dominant. Difficile de trouver des personnes élégantes et raffinées ayant ce profil...
Par Marie et Simon
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Jeudi 15 mars
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10:45
Ce soir, c'est une grande première. Marie a décidé que nous nous rendrons dans un club SM... On en parle depuis longtemps, mais on ne l'a jamais fait...
Vers 21h00, Marie me demande de me mettre nu. Elle inspecte mon corps, mon odeur, mon épilation... Elle remarque quelques poils sur mon sexe. Elle ouvre le cadenas de la cage de chasteté et m'ordonne d'aller parfaire mon rasage... L'ouverture de cette cage, que je porte depuis 5 semaines est un vrai soulagement. Je bande dur, le seul fait de toucher mon sexe me met au bord de l'éjaculation... Marie s'en aperçoit et m'impose une douche et un rasage à l'eau glacée...
J'ai dans l'idée que mon sexe sera libre et accessible dans ce club SM... Je m'en réjouis, même si je suppose qu'il ne me sera probablement pas autorisé de jouir, car je sais que Marie aime garder ces petits plaisirs pour Elle seule.
Une fois douché, rasé et séché, Marie de regarde en souriant. La douche était très glacée, j'ai froid, je tremble. Elle profite du moment, puis me demande de venir la masser sur le lit, ce qui devrait me réchauffer selon Elle. Mon sexe est libre, je bande très dur. Elle joue parfois à le caresser dès qu'il faiblit, pour me maintenir très excité.
Le massage terminé, elle se retourne vers moi :
"Va chercher la cage et tu prendras les piquants de la taille n°3, les plus longs !
- Mais on ne les a jamais essayés. On ne sait même pas si je les supporte...
- Ce sera une bonne façon de savoir... Parce que je pense que tu seras très soumis ce soir, donc très excité. Les piquants te feront le plus grand bien en te mordant très fort. C'est ça que tu aimes, n'est ce pas...
- Euh...
- Va les chercher. Moi je le veux !"
Je reviens avec la cage. J'ai dû mettre de la vaseline pour y faire entrer mon sexe, tant il était dur. J'installe les piquants de taille n°3. Ils sont très longs et très saillants. Ils me font mal d'emblée. Marie me demande d'approcher et de lui présenter mon sexe...
Elle serre la cage d'un geste sec puis la verrouille avec un cadenas en acier. La douleur des piquants est immédiate, intense... Je suis obligé de réprimer mon excitation. J'en mène pas large. Marie me sourit : "Ce soir, tu seras puni par les piquants à chaque fois que tu prendras du plaisir dans ta soumission. Tout plaisir te fera très mal au sexe... Comme ça, je suis certaine que tu ne cesseras pas de penser à Moi, quand tu seras entre d'autres mains...
— Entre d'autres mains ?
— Tu verras bien sur place. Je t'ai déjà dit que je n'avais pas envie de te dominer moi-même là bas. Je serais trop indulgente avec toi, si je le faisais moi-même... Ce n'est ni ce que tu mérites, ni ce qu'il te faut, ni ce dont tu as envie. On trouvera plus sévère et plus exigeant que moi. Habilles toi à présent."
Pris par la douleur de mon sexe qui demeure dur, je sors de l'armoire la tenue SM que nous avions achetée en prévision, il y a dejà quelques mois. Il y a un pantalon en cuir, une chemise noir et un string en cuir. Lorsque je mets le string, Marie éclate de rire... Et moi aussi, car je suis vraiment ridicule avec ce petit slip en cuir... Ce rire a le mérite de calmer mon érection.
Marie revêt de son côté une majestueuse tenue noire en satin. Je m'approche pour l'embrasser, mais Elle me repousse. Je comprends que son corps m'est désormais totalement inaccessible.
Nous arrivons vers 22h30 à ce club SM... Passé l'accueil, nous nous dirigeons vers le vestiaire. Une jeune femme nous invite à nous changer et déposer nos affaires, si on le souhaite. Marie se défait de sa veste, puis me demande de retirer tous mes vêtements ainsi que ma montre, à l'exception du string qui dissimule à peine la cage de chasteté.
Elle me regarde en souriant complice, avec la jeune fille du vestiaire... Je me sens gêné, ça m'excite et les piquants commencent leur travail. Marie rit et me pinçant les seins.
Puis Marie me demande de mettre les mains dans le dos et me passe des menottes. Elle attache ensuite un collier autour de mon cou, avec une laisse, puis accroche la clé des menottes au collier. "Voilà, comme ça, tu ne pourras pas libérer tes mains sans trouver une bonne âme qui aura pitié de toi ou besoin de tes mains..."
Elle prend un baillon boule et s'approche de moi :
"As tu quelque chose à dire ?
— Non.
— T'es sûr, parce que je vais te mettre ce baillon et que tu ne seras plus autorisé à parler de la soirée.
— Je t'aime."
Elle met le baillon boule dans ma bouche et le fixe solidement derrière ma nuque.
Puis marie revient avec un masque pour les yeux : "Regardes moi bien, car tu ne me verras plus de la soirée." Puis elle fixe le masque sur mes yeux.
Me voilà prêt, selon Marie : menoté, tenu en laisse, muet et sans la vue, en string.
Marie prend la laisse et me conduit lentement vers la cave d'où provient de la musique et quelques rumueurs, ainsi que de lointains gémissements de plaisir et de douleur.
Apparemment, notre entrée est remarquée, car il se fait un petit silence...
Marie me met debout contre un mur et je sens la laisse se tirer vers le haut. Elle l'attache à un crochet, car je ne peux plus me déplacer... Obligé de rester ainsi, debout, attaché par le col et les mains liées. Puis je sens que MArie écrit quelque chose d'assez long sur mon corps avec un feutre.
Une fois fini, Elle vient me parler à l'oreille en caressant mon sexe, ce qui me procure une intense douleur à cause des piquants :
" Voilà, tu es prêt. Et en plus tu bandes dans ta cage. J'adore... Tu dois avoir très mal... C'est bon ! Vraiment, j'adore... Maintenant, je vais te laisser et tu auras toute la soirée pour découvrir ce que j'ai écrit sur ton corps. Peût -être que des personnes viendront te libérer pour s'occuper de toi... Peut être qu'il ne se passera rien du tout. Tu verras bien... Si des personnes viennent te prendre, tu devras accepter tout ce qu'elles t'ordonneront et ça devrait te permettre de deviner ce que j'ai écrit. J'espère que tu prendras beaucoup de plaisir et que la morsure des piquants te comblera... Taille n°3, ça va faire très mal à mon amoureux. Mais il aime ça, pas vrai ? Quand à moi, je ne m'occuperai pas de toi. J'ai bien l'intention de me faire plaisir, à ma façon, mais sans toi... Peut-être que tu entendras parfois ma voix, mes rires, mes gémissements, mes soupirs ou mes cris de plaisir... Peut être aussi que tu ne m'entendras pas du tout, car je serais partie ailleurs prendre mon pieds. Pour ce soir, je t'abandonne ici. Le patron de la boîte est chargé de te libérer dans 3 heures si personne ne l'a fait d'ici là... Et tu dois être rentré à 4h00 du matin au plus tard. Quand à moi, je rentrerai quand je rentrerai... Courage, mon amour, tu vas adorer... Oh mais oui que tu adores, je vois que tu bandes dans ta cage. Hm, c'est bon les piquants. Et sois sage..."
M'abandonnant à la douleur des morsures des piquants, Marie s'éloigne après avoir mordillé mes seins... Puis je l'entends parler avec des gens, sans comprendre ce qu'ils se disent...
Un peu plus tard, je sens des personnes s'approcher de moi. Certain(e)s me touchent, d'autres baissent mon string et jouent avec la cage. Parfois, je reçois une fessée rapide ou bien des doigts viennent pincer durement mes seins et s'amusent à me faire bander ainsi, une autre personne touche mes fesses et les écarte, introduit un doigt et le ressort... Je suis offert à tous vents, vulnérable et impuissant. Entre deux visite, je continue d'attendre debout, attaché, immobile, disponible... De temps en temps, j'entends les rires de Marie. Plus tard, j'entends aussi les gémissements de plaisir d'une femme, au loin, et je crois reconnaître que ce sont ceux de Marie, mais je n'en suis pas sûr et je n'en saurai rien, car je suis certain qu'Elle me frustrera de savoir ce qu'Elle a fait durant cette nuit... C'est dans son pouvoir.
Puis bien plus tard, je sens une cravache caresser mon torse, mon visage, mon sexe, mes jambes... Je reçois deux petits coups sur les fesses, puis la main qui tient la cravache détache la laisse et m'emmène avec elle. Je ne sais s'il s'agit d'un homme ou d'une femme, ni ses intentions, mais je la suis, tenu en laisse, les mains menottées, le visage masqué, la bouche baillonnée... On arrive dans une autre pièce. Je sens la présence de plusieurs personnes autour de moi. On détache mes menottes. Mes bras sont libres, mais pas pour longtemps. On me les attache, écartés, à des crochets en hauteur. Puis on m'écarte les jambes avant de les attacher à quelque chose dans cette position. Je crois bien que je ne vais pas tarder à comprendre le sens de ce que Marie a écrit sur mon corps.
Par Marie et Simon
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Lundi 12 mars
1
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09:05
Marie a décidé de m'apprendre la frustration et la patience, jouant avec mes désirs pour mieux les frustrer et me tourner vers Son service.Donc, samedi matin, Elle m'a mis la cage avec le cadenas en acier, sans que je m'y attende. Elle m'a laissé penser qu'elle me la retirerait peut être le dimanche soir... Mais finalement non, je n'ai même pas été autorisé à toucher le corps de ma Maîtresse. "Tu pars après demain en province, je crois. Tu pourras me toucher demain soir. Et après, peut être que je te mettrai un cadenas en plastique puur ton voyage."Lundi soir, lorsqu'Elle est rentrée du travail, j'ai accompli notre rituel imposé : j'ai baissé mon pantalon et je me suis mis à genoux devant Elle pour lui présenter la cage. Elle en a vérifié la fermeture, puis Elle a relevé sa jupe et m'a présenté son sexe pour que je l'embrasse. Après quelques baisers, sentant monter mon désir de la lécher, Elle m'a repoussé d'un geste : "Doucement, ça suffit. Tu continueras tout à l'heure. On fera l'amour. J'en ai envie. Va préparer à dîner !"Je me suis exécuté. Quand nous nous sommes couchés, Marie a ouvert le cadenas et retiré la cage. Je suis venu me blottir contre son corps de rêve, embrassant les rondeurs naissantes de sa grossesse. Je n'avais que deux jours de cage derrière moi, mais j'étais fin excité. Mon sexe était très dur."Ça suffit les baisers. Éteins la lumière et couches toi ! J'ai envie de toucher ton sexe..." Elle m'avait promis de faire l'amour... Je me suis couché, Elle a pris mon sexe dans sa main, jouant à l'exciter dès qu'il faiblissait... Elle s'est endormie, gardant de petites pressions sur mon sexe en dépit de son sommeil. J'ai mis du temps à trouver le sommeil. Vers 4h00 du matin, Elle m'a réveillé en caressant mon sexe à nouveau.J'ai espéré que nous ferions l'amour ou qu'elle me demanderait de l'embrasser, de la lécher... Mais rien. Elle voulait juste jouer avec son doudou dans la main, pour le maintenir en état d'érection. Elle aime qe je bande pour Elle et je comprends que son but est de me maintenir en état d'excitation sans me procurer aucune autre satisfaction, pas même une punition, ni même se soucier de mes attentes SM... Elle n'a pas laché mon sexe avant 6h00, heure à laquelle le réveil a sonné.Je suis allé me de doucher. Elle m'a demandé de revenir avec la cage sur mon sexe et les piquants de taille n°1.Après ma douche, Marie a verrouillé la cage avec le cadenas n°219092.
"Ça me plaît de savoir que resteras excité toute la semaine en étant fou de désir pour moi. Je n'aurai que plus de plaisir à me branler... Habilles toi vite, maintenant, sinon tu vas manquer ton avion."Après m'avoir fait miroiter pendant deux jours que je pourrais la lécher et lui faire l'amour, après avoir passé la nuit à m'exciter, Marie m'enferme à nouveau sans m'avoir donné la possibilité de prendre du plaisir. Et je sais que quand Elle me met un cadenas en plastique, c'est souvent pour longtemps.L'effet a été immédiat. J'ai été très excité toute la semaine, mon sexe se faisant douloureusement mordre et mettre au pas par les points d'intrigue. La première nuit, j'ai eu beaucoup de fantasmes, dont un qui est raconté ici sous le titre "Regrettable !".Petit à petit, je découvre le sens du dressage souhaité par Marie. En effet, quand Elle me met la cage, Elle réduit considérablement mes accès à Son corps. Elle me fait bien comprendre que si je réclame de l'embrasser ou d'être puni, Elle n'en fera rien. Et de fait, Elle ne fait rien. Je dois apprendre à me soumettre totalement, en acceptant de porter longtemps la cage sans qu'Elle n'ait à me dominer d'aucune autre façon, ni qu'elle m'utilise autrement. Apprendre un état de disponibilité longue et frustrée... Y parviendrai-je ?Je reste seul avec mes désirs inassouvis, sans la permission de m'exciter à cause des points d'intrigues. Un désir si frustré qu'il prend une grande intensité totalement tournée vers la personne de Marie.Je suis rentré vendredi, mais samedi nous avons travaillé. Dimanche, j'ai eu l'honneur de la masser à plusieurs reprises et de lui donner du plaisir avec ma bouche. C'était une récompense. Puis Elle m'a demandé de rester nu avec ma cage tout le reste de la journée. Marie me savait en attente de moments SM plus intenses, mais Elle m'en a délibérément frustré. "Je n'ai pas envie de faire du SM en ce moment, j'ai juste envie de te savoir dans la cage, frustré en permanence, fou de désir pour moi... Et peut être que ça durera longtemps, parce que ça me plaît."Je me prépare à une longue période, privé de tout, avec très peu de moments où je pourrai toucher ma Maîtresse, en état d'attente disponible permanente, sans pouvoir m'exciter. L'apprentissage de la sagesse et d'une très forte soumission, sans jeux SM...Finalement, hier soir, Marie a décidé de nous créer un pseudo sur un Tchat SM. Elle se propose de me louer à H, F ou Couple, pour quelques heures ou pour une journée. Je serai loué pour faire le ménage et parfaire mes prédispositions à la servitude. Bien sûr, je serai loué avec la cage. Les personnes qui me prendront auront pour tache de m'éduquer et de me dresser sévèrement, pourront abuser de moi selon des règles fixées à l'avance par Marie et inconnue de moi.
À présent je suis fortement en cage, sans doute pour un certain temps, voire longtemps. C'est comme si Marie me disait : "Je souhaite que tu restes en cage, longtemps. Parce que ça me plaît et parce que tu aimes cela. Donc tu resteras dans la cage, durement frustré. Je sais, quand tu es en cage, tu es plus excité et tu as plus envie de moments très SM forts. Mais moi, j'ai juste envie que tu portes la cage, rien de plus. Je n'ai pas envie de moments SM, durant lesquels je te dominerais, je te punirais, je t'humilierais. Même si je vois bien que t'en rêves... Et comme c'est moi qui domine, qu'il s'agit de mon désir, je ne ferai pas autrement. Si tu es trop excité pour le supporter, on fera autrement. Mais si tu parviens à t'adapter, saches qu'il me plaît que tu demeures excité en permanence pour moi et que tes attentes ne soient pas assouvies, afin de renforcer toujours plus ton désir pour moi. Et comme je t'aime, je vais te prêter à des personnes qui voudront te dominer. Ces personnes te donneront le dressage dont tu as tant besoin... Mais tu ne jouiras point, afin que je profite encore plus de ton désir pour moi ! Tu seras en cage, sans que je n'ai à te dominer, ou seulement parfois, lorsque l'envie m'en prendra. Peut être jamais... Peut être souvent... Qui sait ? C'est moi qui dispose de toi selon mes envies et mes seules envies. Je ne sortirai ton sexe de sa cage que pour les moments où j'aurai envie de m'en servir, sinon il restera enfermé. Tu ne pourras ni le toucher, ni te donner du plaisir. Juste concentrer ton désir sur ma personne. Peut être aussi que parfois j'en viendrais même à oublier que tu es en cage. Ce sera à toi de gérer le manque et la frustration, sans te plaindre. Mais si ça ne te convient pas, on peut faire autrement."
Et moi je me pose la question : "si ça ne te convient pas, on peut faire autrement", que cela signifie t il ? Retirer la cage totalement et renoncer à ce jeu pour le moment ? Ou bien passer aux "points d'intrigue" n°2, voire n°3 ? Combien de temps tout cela ? A qui vais je être prêté ? Qui voudra ? Quelles seront les conditions que Marie négociera ?
Les paris sont ouverts... Les propositions aussi.
Je dois avouer que tant de soumission, sans SM et si frustré, c'est très dur. Très cérébral et profond. J'ai peur de ne pas tenir et de rompre le cadenas, par dépit, ce qui serait vraiment dommage. Je ferai tout pour m'adapter à Marie et mettre mes attentes en conformité avec l'évolution de ses désirs, toujours changeants, parfois brûlants, d'autres fois très calmes. Parce que j'aime par dessus tout vivre dans Son plaisir. Et pour être totalement honnête, je dois également avouer que ces nouvelles règles du jeu favorisent une relation amoureuse très douce et intense à la fois, tendre et bienveillante, très forte. Dans cet effort vers une soumission à la façon de Marie, mon amour pour Elle trouve un très beau territoire pour s'exprimer pleinement.
Je l'aime. j'aime la voir être, vivre, parler, sourire, bouger. J'aime son bonheur, son bien-être et sa plénitude. Et j'éprouve beaucoup de plaisir lorsque j'ai le sentiment de participer à son bonheur. Marie est magnifique !
Par Marie et Simon
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5
Mercredi 7 mars
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07
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22:22
Je porte la cage depuis 3 semaines, sans qu'elle ait été ouverte. Marie et moi sommes couchés paisiblement, amoureusement. Sa tête est posée sur mon épaule, je suis allongé sur le dos, Elle me caresse le torse... Notre position, très tendre et traditionnelle, ne laisse aucunement penser que je suis encagé et soumis. C'est un simple moment d'amour léger, comme nous les affectionnons tant.
Puis Marie me demande : "Ça fait combien de temps que tu n'as pas jouit ?
— 3 semaines je crois.
— Intéressant !"
Son visage s'illumine d'un large sourire. Sa main descend vers mon sexe, qu'elle caresse (ou du moins les parties qui ne sont pas emprisonnées dans la cage, à savoir mes couilles).
"Ne bandes pas, tu vas te faire piquer par les points d'intrigue !"
Et ses caresses deviennent de plus en plus lascives. Mon érection se développe rapidement et je suis aussitôt torturé sévèrement par les points d'intrigue. Je gémis... Marie semble ne pas s'en soucier et continue de me caresser. La souffrance s'intensifie sur mon sexe.
"Tu as mal ?
— Oui.
— Ça te fait bander quand je te fais mal ?
— Oui.
— Tant mieux, c'est ce qui m'intéresse."
Marie continue d'exciter mon sexe et mes seins qu'elle pince vigoureusement. Puis Elle vient s'asseoir sur ma bouche. Elle est tournée face à mon sexe, qu'elle caresse d'une main, réservant l'autre à me pincer les seins. J'embrasse son sexe en gémissant sous les douleurs du mien.
" On dirait que t'as envie de bander... Allez, je ne suis pas cruelle, je vais te doner une chance pour t'exprimer" me dit-elle en riant avant de déchirer d'un coup le cadenas en plastique de la ceinture de chasteté qui me torture. Elle retire la cage puis caresse mon sexe engourdi et excité qui durcit rapidement. J'embrasse le sien.
Elle se redresse et s'avance vers mon sexe, puis se retourne vers moi. Marie s'enfourche sur mon sexe et me prend profondément en Elle : "Je vais te baiser..."
Elle va et vient avec mon sexe, mue par une excitation intense. J'ai rapidement envie de jouir, je la préviens. Elle se retire d'un coup. Mon sexe dur et excité tremble dans le vide, saisi de spasmes, en quête d'une jouissance imminente qui a été étouffée. Mon gland est brûlant. Marie me fixe longuement :
" Je ne t'ai pas permis de jouir si vite. Je sens que si je te reprends en moi, tu vas jouir de suite. C'est regrettable ! Allez, lèves toi. Va laver ton sexe et ta cage, puis reviens avec un nouveau cadenas. Tu prendras les piquants de la taille 2 !"
Je m'exécute, puis lui présente mon sexe lavé et enfermé dans la cage propre ainsi que le cadenas en plastique numéroté prêt à être posé. Elle s'en empare et me le fixe immédiatement, sans hésitation. Une fois verrouillé, Elle en cache le numéro de sa main...
"Quel est le numéro du cadenas ?
— Je ne me souviens pas...
— C'est regrétable... Deux fois de suite, regrettable ! Quelle est la plus longue période que tu as porté la cage ?
— 3 semaines.
— Bien. Alors nous allons changer de dimension... Nous allons parler en mois désormais et non plus en semaine. Tu auras tout le temps comprendre ce que signifie une chose regrettable pour moi. Mais je serai clémente. Tu ne porteras cette cage que pendant 3 mois. Elle demeurera fermée durant tout ce temps. 3 mois, ça devrait être suffisant pour apprendre le numéro du cadenas par coeur. Et n'espère aucune clémence de ma part. C'est une décision définitive et sans retour ! 3 mois durant lesquels tu ne pourras ni jouir, ni toucher ton sexe, ni même t'exciter sous peine de te faire torturer par les points d'intrigue. Durant cette période, je prendrai mon plaisir de toutes les façons qui me plairont. Où je veux, quand je veux, comme je veux et avec qui je veux... Mais nous en reparlerons plus tard... À présent, je veux que tu sortes de la chambre. Je voudrais me faire du bien toute seule. Allez, sors !"
Par Marie et Simon
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Dimanche 4 mars
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/Mars
15:34
Hier matin, Marie et moi faisions l'amour. Je la sentais d'humeur dominante. Elle était toute à son plaisir et me dirigeait de façon assez ferme vers ce but. Mes mains et ma bouche n'avaient de cesse que de faire honneur à son corps magnifique et la conduire à la jouissance. Je suis venu en Elle, c'était si bon, si doux... Mon plaisir était intense et Marie me fixait avec son infinie tendresse. Puis Elle m'a demandé de me retirer avant de jouir. Je l'ai couverte de baisers pendant qu'elle allait seule vers l'orgasme. "Un petit peu de frustration te fera du bien et moi ça m'excite que tu bandes en permanence. Je sens qu'une reprise en main s'impose. Je ne veux pas que tu jouisses maintenant. Peut être tout à l'heure, parce que j'ai très envie de me faire bourrer. On verra mon humeur..." Et nous nous sommes endormis, si tendrement.L'après midi, Elle s'est à nouveau donnée du plaisir. Sans moi. M'interdisant de me toucher et de jouir.Ce matin, Elle m'a demandé de raser son sexe (c'est toujours moi qui le fais) en laissant entendre que nous ferions l'amour ensuite. Mais une fois rasée, Elle a changé d'humeur. "C'est bien qu tu sois frustré encore. Ça m'excite bien. On verra si ce soir... Mais pour l'instant, tu vas raser ton sexe et enfiler la cage... Avec les poils qui repoussent sous le plastique, tu devrais apprécier. Et tu mettras aussi le petit point d'intrigue."Moi qui espérais qu'on ferait l'amour... Ça aurait pu être une cage soft ensuite, mais me voilà dans une cage avec ses mordants sans avoir jouit !Je suis à nouveau encagé. Le cadenas est en acier, car je suis à Paris jusque mardi et Marie veut se garder la possibilité de l'ouvrir d'ici là. De l'ouvrir ou pas... Et je risque fort de partir mardi avec un cadenas en plastique et les points d'intrigue (taille 1, 2 ou 3 ?). Et de garder la cage un certain temps, car je ne connais jamais la durée d'avance et elle peut se révéler très longue. Parfois Marie se prend au jeu et ne souhaite plus la retirer jusqu'à ce qu'un évènement inattendu se produise.Je réintègre un état de soumission plus profond et cela me fait du bien.
Ma fascination infinie pour le corps et la personne de Marie ne s'en exprime que mieux. Son ventre s'arrondit, pour mon plus grand bonheur. Je redouble de désir !
Par Marie et Simon
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Samedi 24 février
6
24
/02
/Fév
20:26
Les jours passent...
Nos vies professionnelles palpitantes reprennent le dessus. Nous sommes l'un et l'autre très occupés, par des choses passionnantes ! On passe le plus de temps possible ensemble, comme toujours. Mais en général, nous sommes assez épuisés. Et puis, souvent le soir, nous avons un peu de mal à décharger la tension de nos journées de travail si intenses.
C'est un cycle que nous connaissons. Il y a régulièrement des périodes de ce type où nos vies actives imposent leurs droits. Je pense que là, nous en aurons pour quelques semaines.
Bien sûr, dans ces moments là, nos libidos sont plus calmes... Je n'ai que très peu de fantasmes SM et Marie encore moins.
Je dirais, en ce qui me concerne, que quand je n'ai pas ces fantasmes en moi, je trouve ces jeux parfois ridicules. Mais je sais aussi que ça reviendra dès que je serai plus libre dans ma tête et que je rêverai à nouveau de porter la cage.
Pour tout dire, je suis très heureux que le SM n'ait pas lieu 365 jours par an, car ça devient étouffant et ça crée une relation de dépendance (...un peu comme les toxicos).
Nos soirées ne sont pas torrides mais terriblement amoureuses, en ce qu'elles sont très réparatrices.
Nous sommes sur de gros projets professionnels et des projets de vie. Ça aussi c'est très structurant.
Et puis c'est pas tout, nous venons d'acheter une maison et nous sommes dans les travaux. On déménage dans un mois.
Et puis, je garde le meilleur pour la fin : nous attendons un bébé. Un petit garçon qui devrait arriver mi-juillet.
Plus encore d'autres choses qui se passent en ce moment.
Bref, nous vivons, pleinement, intensément, amoureusement une vie commune qui ne cesse de se construire et de s'enrichir, jour après jour, depuis 8 ans. Et chaque nouvelle étape de cette vie renforce la qualité de nos échanges, de notre confiance, de notre tendresse, de notre bienveillance réciproque... Même nos petites disputes liées au stress du quotidien ne font pas long feu.
Le SM n'y trouve pas sa place pour le moment et aucun de nous deux n'en éprouve le besoin...
Mais attention à la bête qui veille... Une petite provocation et ça repart.
Juste une dernière chose. C'est bientôt mon anniversaire et pour cadeau, Marie se propose de me vendre comme esclave soumis à des personnes très dominantes...
Y serai je prêt ? Y sera t elle prêt ? C'est plus facile quand on est déjà dans un jeu SM intense....
On verra bientôt.
Par Marie et Simon
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Publié dans : amoureux-soumis-a-marie
0
Mercredi 7 février
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16:14
Par Marie et Simon
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Publié dans : Réflexions
1
Dimanche 28 janvier
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14:39
Je quitte la maison pour quelques jours. Déplacement professionnel...
Je porte la cage depuis une ou deux semaines. Cadenas n°219155.
Comme toujours, j'envoie une photo de la cage tous les matins à Marie par email pour témoigner de ma soumission et pour prouver que je suis toujours bien cadenassé.
À l'endroit où je travaille, une amie de Marie est également présente. Je ne la connais que très peu. Nous nous saluons sympathiquement, mais sans s'éterniser... Le soir, je croise encore une fois Isabelle, cette amie. En allant se coucher, elle me dit avec un sourire malicieux : "Bonne nuit, Monsieur 219155 !"
J'en suis tout bouleversé. Je rougis... Marie aurait--elle parlé de nos jeux à une de ses amies ? C'est la seule explication possible. Elle ne l'a jamais fait auparavant...
Isabelle est dans la confidence, elle sait que je suis soumis et que mon sexe est verrouillé. Je sais qu'Isabelle est une amie loyale envers Marie, par conséquent, il n'y aura pas d'ambiguité. Marie a t elle une idée derrière la tête ? Laquelle ?
Je me couche troublé, gêné et excité... Normal, quoi ! J'envoie un SMS à Marie avant de dormir "Douce nuit mon Amour. J'essaie de rester sage dans ma cage, mais je suis très excité... Les piquants sont très mordants. Je crois que ton amie Isabelle a fait ce qu'il fallait, sans doute à ta demande, pour en remettre une couche"... Puis je m'endors.
Le matin à 8h00, on frappe à la porte de ma chambre. J'ouvre. C'est Isabelle :
"Bonjour Monsieur 219155. Marie m'a chargé de surveiller ta toilette et la bonne tenue du cadenas. Je suis pressée. Désabilles toi et attends moi dans la salle de bain !"
Je m'apprête à lui demander ses intentions, mais elle me coupe la parole avant que je n'ai pu dire un mot : "Et je te demande de garder le silence. On n'est pas là pour causer mais pour te laver ! Allez, dans la salle de bain"
Je me mets nu, sous le regard amusé d'Isabelle. Je suis un peu gêné. Elle regarde la cage avec curiosité : "Pas mal ce truc, ça a l'air efficace... Allez rentre dans la baignoire !" J'exécute et je m'empare du pommeau de douche... "Hé là, doucement. Que fais tu ? C'est moi qui mouille !"
Je lui tends la douche. Elle ouvre le robinet d'eau froide uniquement et sans ménagement, elle arrose tout mon corps. Je pousse un grand cri sous la morsure de l'eau glacée. "Tais toi, je ne veux pas qu'on se fasse remarquer. Laves toi à présent. Ça tu peux le faire tour seul."
Je prends le savon que je passe sur tout mon corps. Puis j'attrappe un petit bâtonnet que je savonne et que j'introduis dans les interstices de la cage, pour nettoyer mon sexe et le plastique qui l'emprisonne. Isabelle sourit et prend une photo avec son téléphone, qu'elle envoie par SMS apparemment. Sans doute à Marie. Puis elle me dit : "Mais c'est qu'il a bien pris soin de sa petite cage et du jouet de sa Maîtresse. C'est bien. Je vais te rincer"
Elle reprend la douche et me rince à l'eau glaciale. Je me retiens de gémir en serrant le dents. je me sens un peu honteux, ce qui semble l'amuser. Elle arrose tout mon corps énergiquement, à plusieurs reprises, s'amusant de me voir fuir le jet glacial, de voir mes membres se crisper, appréhender... J'ai froid, je tremble. Elle éteint l'eau et me demande de me sécher puis de m'habiller.
Elle m'observe d'un sourire amusé. Lorsque je suis prêt, elle quitte la chambre en disant : "Merci pour le spectacle. À demain, Monsieur 219155".
Par Simon
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Publié dans : Fantasmes
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Samedi 27 janvier
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19:06
Voilà une dizaine de jours que nous avons repris contact avec la réalité...
Ce jeu SM permanent entre nous devenait étouffant, trop proéminent... Désirs en surenchère qui nous rapprochaient et nous éloignaient en même temps.
Marie avait besoin de renouer avec une sexualité plus classique et une relation plus légère. Et moi, j'étais enfermé dans ma cage, donc dans mes pensées. Je ne cache pas que je me suis senti un peu nu sans la cage, que j'ai eu du mal à ne plus pisser assis (d'ailleurs, je continue bien souvent), que ça m'a fait drôle de pouvoir me toucher, que j'ai dû retrouver mes marques dans ma façon d'aborder Marie, etc. Rire...
Ce retour à la réalité nous fait le plus grand bien et restaure le socle de notre amour, de notre désir.
J'en suis très heureux. Je n'ai d'ailleurs que peu de désirs SM en ce moment, mais je sens que ça revient doucement. Pour Marie aussi, ça revient doucement... D'ailleurs, ces périodes de soumission un peu longues laissent toujours des traces plus durables et profondes qui s'impriment dans notre relation : Marie devient plus exigente dans son amour, plus soucieuse de la qualité de l'attention que je lui porte, plus enclin à exprimer de façon directe ses attentes... Bref, plus dominante en général et j'aime cela. Pour ma part, je me sens lus à son écoute, plus tourné vers ses satisfactions. Pas seulement d'un point de vue sexuel, mais de façon générale, dans le quotidien de notre relation. Cela donne beaucoup de beauté à notre amour. Vraiment.
Depuis des années je remarque régulièrement que par moments, le SM se retire totalement de ma personne. Plus aucun désirs en ce sens... Et puis ça revient. Est ce que les autres amateurs de SM ressentent la même chose ? Je n'en sais rien, mais j'aimerais savoir. Est-il possible d'être SM 365 jours par an, sans transformer le lien amoureux en relation de dépendance ? Sans perdre pieds avec la vie courante ? Sans finir par instrumentaliser l'autre en objet de fantasme ?
Je crois que c'est bien si régulièrement le SM se retire de moi. La libido reste intacte, néanmoins. Car le SM devient une sorte de prison mentale qui transforme la vie en rêve, en fantasme, en irréel. Ce n'est plus du sexe, mais un rapport globalement irréel à la vie. Excellent remède contre la dépression et la peur du vide, sourire...
Là, nous renouons avec l'amour, tout simplement. C'est à dire avec ce qui est essentiel dans notre relation. Et pour tout dire, on passe nos moments libres à faire l'amour sans répit !!!
Je dois le dire, baiser tout simplement comme un homme et une femme classiques, sans décor ni accessoire, dans un corps à corps amoureux, pour le seul ravissement des sens et des émotions... Et bien, baiser ainsi, c'est BON !!! Je vous fais grâce des détails...
Mais bientôt, j'écrirais de nouvelles choses ici. Des fanstasmes, des récits ou le retour du journal d'un amoureux soumis.
Par Simon
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Publié dans : amoureux-soumis-a-marie
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